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De Frydman Charles, le 18 février 2019 à 08:00
Note du film : 5/6

Si on se plonge dans les sources historiques du film et des précédents (le premier film muet est sorti en 1924), les deux femmes de Napoléon 1er : l'impératrice Marie Louise devenue duchesse de Parme, et Josephine aimaient les violettes violette de Parme , anecdotes . D’ailleurs le nom "violette de Parme" aurait pour origine la duchesse de Parme. Le film évoque Eugénie de Montijo qui épousa Napoléon 3 , son goût pour les violettes est moins connu, j’ai néanmoins trouvé quelques liens qui y font allusion des violettes dans le jardin de l'impératrice Eugénie , La vie de l'impératrice Eugénie de Montijo  : "Voici l'impératrice en robe de couleur changeante, mantelet de dentelles, capote noire et blanche, entourée d'une couronne de violettes, d'où s'élance une aigrette effilée. ". Photo de l'impératrice Eugénie avec un bouquet de violettes


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De Doumé56, le 9 septembre 2010 à 22:21

Violettes Impériales : film de 1952 de Richard Pottier…. Ces messages que j'ai lus semblent anciens… J'ai trouvé en septembre 2010, puis commandé (à la FNAC) et reçu le DVD de ce film, malheureusement en noir et blanc (pourquoi ?) mais d'une qualité optique et sonore bien "conservée" (je n'ai pas dit restaurée)

J'ai revu ce film avec beaucoup de plaisir… je l'avais vu la première fois en juillet 1957 à La Bourboule, en cure thermale, j'avais alors 15 ans…

Doumé56


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réedition du film en Dvd couleur


De cinefou, le 2 mai 2010 à 19:30

Bonjour,

J'ai eu en main il y a une dizaine d'années une copie de ce film en 16mm où la couleur était encore trés convenable (je n'ai pas dit exactement comme à l'origine) mais pas virée . Certainement retirée sur une autre pellicule qu'Agfa . Ce document a circulé dans la région marseillaise Des recherches sérieuses permettraient peut-être de le retrouver pour le bonheur des amateurs (rechercher auprés des collectionneurs et tourneurs…)


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De Azurlys, le 1er septembre 2007 à 16:30

Les informations notées comme (contre)exemple pour Violettes Impériales et le Gévécolor disparu, au moins en partie, ont valu une réponse "impétueuse" sur la hideur (possible) des couleurs de la Tour de Nesles. J'avais parlé de couleurs "très attrayantes", mais bien évidemment tout est relatif. René Chateau, qui n'a pas que des défauts, s'était expliqué sur les difficultés de restaurer les couleurs d'un film qui s'étaient estompées. Curieusement, le DVD est moins saturé que la bande VHS. Mais l'exemple n'est pas unique. La version DVD des "Trois Mousquetaires" (1948), de Georges Sydney, la meilleure sans doute, est à cet égard très décevante, trahit complètement le superbe et flamboyant Technicolor trois bandes d'origine, préservé sur les cassettes Bétacam, à usage "diffusion TV", non accessibles au public. Ce n'est donc pas une question de copie argentique. On peut penser que les techniciens chargé de ce transfert sur DVD, pêchent lourdement en corrigeant des couleurs sompteuses, travaillées par des chefs opérateurs, et des réalisateurs, souvent formés aux arts picturaux (Minelli, Sydney, Huston, Sol Polito, Jack Cardiff), pour les ramener aux goûts d'aujourd'hui. En sommes, leurs carences culturelles les conduisent à trahir le film, le Technicolor et les voeux des réalisateurs ! Joli tiercé… Evidemment, avec Gévacolor, on descend un ou deux octaves en dessous !

Pardon de ce développement, mais j'ai un souvenir préçis du Gévacolor d'origine, dominantes froides, avec des rouges, jaunes et orangés un peu éteints. La version DVD, même si elle ne rempli pas ce que l'on pouvait en attendre, me parait plus acceptable que ce que j'ai vu en 54 ou 55. Pour autant que je sache, il ne s'agit pas d'une "colorisation" au sens complêt, mais d'une résurgence des couleurs, puis corrigées avec moins de bleu. Et l'on partait d'un négatif très "éteint"! De plus, la qualité limitée de ce film extravagant (Ah ! la star Italienne Sylvana Pampanini dans le personnage de Marguerite de Bourgogne était impayable!) fait de ce film une curiosité plus qu'une oeuvre. Abel Gance après douze ans hors des studios a accepté les offres de Fernand Rivers, faute de mieux, sans doute. Or ce producteur avait souvent oeuvré dans le film fauché et baclé. L'avis sur la couleur est évidemment subjectif, mais examiné avec l'éclairage du nanar, on peut y trouver un certain charme…

Une dernière chose pour les passionnés : la colorisation récente (quelques années) du charmant Fanfan-La-Tulipe de 1951 (Christian-Jaque, Gérard Philippe, avec des dialogues étincelants dont Henri Jeanson avait le secrêt) est parfaite. Elle a été conçue aux USA, avec un soin exceptionnel. Navrants par principe, les résultats sont souvent affreux, et… contestables, puisqu'ils trahissent le travail des techniciens. Là, les ayants droits étaient d'accord et le résultat est EXCELLENT. Le film, diffusé avec la bande annonce et la version d'origine en noir et blanc est diffusée par TF1.


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