Difficile de faire un texte sur ce "petit" film sans réelle envergure dont le seul attrait est d'entretenir le genre mélodramatique ceci par son ambassadrice de référence Gaby Morlay.
Chacun évolue dans son registre artistique de base avec un Marcel Dalio égoïste, méprisant et un Jean Debucourt doux et compatissant. En 1946 Les larmes devaient valoriser assez facilement cette machinerie sensitive assez naïve, maintenant il semble préférable de montrer cette oeuvrette aux jeunes générations avec au préalable une légère présentation des courants d'une époque meurtrie par la guerre extrèmement perceptibles et sensitives aux mauvaises destinées.
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