Revu en dvd, le film vieillit mal. Seul Voight sort son épingle du jeu.
Le film se clôt sur une image admirable, empreinte de résignation et de mélancolie profonde.
Oui, une image et une musique absolument sublime ! Un rêve éveillé… Peu de films offrent ce genre de fin qui oscille entre le sacrifice de soi et la résignation devant une vie sans but qui va enfin se terminer comme elle a été vécue : Dans l'immensité d'un néant blanc et le froid glaçial d'une âme que rien ni personne n'est venu réchauffer. J'avoue qu'il m'est difficile de contenir une larme devant cette séquence qui nous cloue ! Et si quelqu'un peut me dire oû il est possible de trouver cette splendide envolée lyrique, je lui en serai vivement reconnaissante . J'ai recherché dans la discographie de Trevor Jones sans succès.
PS : D'accord avec paul_mtl, Eric Roberts aurait pu être remplacé par un Ben Affleck, par exemple.
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