Film gentillet sans plus, qui disons, se laisse voir ! Rythme un peu mou, Intrigue prévisible, les personnages aussi ! On retiendra le bon casting, le plaisir de revoir Danielle Darrieux, la prestation de Nathalie Baye, les jolis paysages de Toscane, et la musique originale de D. Moreau, le frère de Bruel. On regrettera le look de Bruel, délibérément choisi, et à l'opposé du séducteur.
Dans ce genre de film, il aurait pu nous la jouer à la Gary Grant ou à la Montand, comme dans César et Rosalie…
Bon allons ! 3/6 pour encourager le metteur en scène dont c'est le premier film !
Tiens, encore un critique de Première-Studio qui réalise son film… Bon. Leurs notules ont toujours été tièdes, consensuelles, d'un style rudimentaire. Qu'en est-il de leur cinéma ? Non pas que la question me passionne vraiment, mais je suis curieux, car le phénomène semble se généraliser. Les p'tits gars de la Nouvelle Vague étaient des furieux agressifs et iconoclastes (enfin, certains d'entre eux) et leurs films, au début en tout cas, s'en ressentaient.
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