Réflexion faite, je dois réparer ici une injustice qui n'a pas cessé de me travailler depuis que j'ai vu ce film. Ce n'est pas juste, c'est même immoral qu'à la fin de Cinq gâchettes d'or, ce soit le meilleur acteur qui se fasse tuer et les moins bons qui gagnent. Réécrivons donc le tout. À la fin, c'est plutôt le Mexicain Tatsuya Nakadai qui, à coups de machette experts, règle leur compte les uns après les autres aux cinq gâchettes d'or. Shlak ! Shlak ! Puis sur fond de décor naturel grandiose, il s'en va à dos de cheval – toujours nu-tête, bien sûr – vers le soleil levant. De la pointe de sa lame, des gouttes de sang tombent une à une sur le sol, traçant son chemin en rouge tandis que le reste de l'image revient au noir et blanc des flashbacks.
C'est déjà mieux, non ?
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