Un excellent Deray (un peu oublié) en effet. Un polar filmé au rasoir avec une musique japonisante très belle de Georges Delerue (totalement inédite en CD hormis le générique) et des acteurs très crédibles.
A voir dès que possible (pour ma part, je l'ai en bonus du coffret d'"Un homme est mort")
Ah ah ah ! Je ne tomberai pas dans le panneau que je me suis tendu et dans quoi vous prétendriez me confronter, cher Arca !
Ce qui m'a fait regarder le film, c'étaient évidemment (je l'ai dit) Vanel et Deray : ç'eût été Rififi à Tegucigalpa ou à Bobo-Dioulasso, je m'y serais adonné avec autant de plaisir…
En d'autres termes, j'ai été bien amusé de voir des Occidentaux se débattre avec un monde étrange et, à mes yeux, parfaitement incompréhensible (un peu comme dans Lost in translation) , mais un Monde qui ne correspondait pas, en 1961, avec les images, vraies ou fausses, que nous nous faisons aujourd'hui du Pays du soleil Levant (ou du Matin calme ? Ah ! Non, ça c'est la Corée, je crois !).
Keiko Kishi est, certes, bien jolie…mais enfin, on ne peut pas dire que la jolie fille soit une denrée rare sur le marché du film…
Et je reconnais bien volontiers que j'ai tendu le cou à votre admonestation qui est aussi narquoise que fraternelle !
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