"Le retour à la bestialité est possible dans une société comme la nôtre. En raison de la désorganisation des mentalités, des crises d'hystéries généralisées, tout cela aggravé par les crises économiques." René-Victor Pilhes.
Dégâts irréversibles d’une sédentarisation assassine mutisme d’une apparence devenue sans éclat, hirsute et banale ou l’on se contente uniquement d’exister.
Sans s’apercevoir que tout ne devient plus qu’errance et bredouillages dans un verbe aride et guttural se nourrissant de situations basiques.
Dans de telles conditions le corps lache en se métamorphosant en quelque chose d’autre.
Entrainant l’irrémédiable mise au piquet d’un esprit déchu, devenu infécond, sanctionné par la nature, dans l’incapacité intellectuelle de fortifier davantage son entendement, obligé de repartir à zéro en revisitant sa bestialité.
Une épreuve ou une nouvelle chance de reconquérir dans une nouvelle manière d’être un comportement naturel dans un environnement incertain que l’on découvre dans l’extase ou la douleur.
Une apparence recomposée, otage de la forêt et de son langage, de ses attraits et de ses contraintes dont il faut comprendre le processus afin de survivre et de s'offrir une nouvelle dimension.
Une épreuve pour certains, une attirance pour d’autres ou l’on se sent emporté sans espoir de retour.
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