Comme on pouvait le craindre, "Kojak " a énormément vieilli et pas seulement au niveau du look. Le rythme est si lent, les décors si peu nombreux, la photo si laide, qu'on dirait qu'un épisode fait deux fois sa durée. On peut se consoler en découvrant Harvey Keitel ou James Woods à peine sortis de la puberté, mais ce n'est pas vraiment suffisant. La série U.S. a fait trop de progrès, surtout ces cinq dernières années, pour qu'un "Kojak " ne se retrouve pas relégué au rang d'antiquité émouvante mais définitivement obsolète.
Exact. Très bon téléfilm d'ailleurs, en deux parties, écrit par Abby Mann et avec Lorraine Gary ("Jaws ") en ex-femme de Kojak. C'est disponible en Angleterre en DVD, mais sans aucun sous-titre.
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