"Johnny Ma" filme avec
Vivre et chanter
(2019) des instants pris sur le vif de la Chine contemporaine. Points forts : la photographie de
Matthias Delvaux et la mise en scène de "Ma", laquelle fait preuve de créativité, en faisant se succéder des séquences dans un désordre surprenant mais enrichissant l'intrigue. De plus, le récit comprend des séquences magnifiques, portées par des mouvements et la musique. Les cinq premières minutes sont par exemple particulièrement brillantes. Le film est globalement de qualité inégale, par moment plombé par un scénario moyen, mais est intéressant, et offre un aperçu des transformations en cours dans un pays tout sauf démocratique.