Paris, été 1994. Georges Montéro, petit industriel pied-noir, est resté en Algérie après l’indépendance. Il arrive aujourd’hui pour la première fois en France à l’occasion d’une opération de la cataracte, au moment où la guerre civile prend de l’ampleur dans son pays. Né “là-bas”, il est de ceux qui ont cru qu’ils pouvaient être plus forts que cette Algérie qui naissait et les repoussait. Tarek Timzert, son chrurgien, (ophtamologue dans un grand hôpital parisien), est un beur qui a coupé tous liens avec sa culture originelle. A travers la relation qui se noue entre le “pied-noir” d’un côté, et “l’aveugle à ces racines” de l’autre, Georges fera le chemin qui l’amènera à choisir entre rester en France ou bien rentrer le cœur libre mais, à ses risques et périls, à Oran.Tarek, lui, y verra plus clair…
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