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Cinéma
Luces de bohemia
Espagne
Drame

Première mondiale : 1985
La fiche technique complète sur IMDb

14/12/201125/11/2018
Réalisateur :
Miguel Ángel Díez

Scénaristes :
Ramón del Valle-Inclán (pièce)
Mario Camus

Acteurs :
Francisco Rabal (Max Estrella)
Agustín González (Don Latino)
Vicky Lagos (La Pisa Bien)
Mario Pardo (Ramón)
Ángel de Andrés López (Dorio)
Berta Riaza (Madame Collet)
Azucena De La Fuente (Claudinita)
Guillermo Montesinos (Chico Taberna)
Manuel Caño (Rubén)
Manuel Zarzo (Picalagartos)
Imanol Arias (Preso catalán)
Paula Molina (Lunares)
Fernando Fernán Gómez (Ministro)
Alfredo Mayo (Marqués de Bradomín)
José Vivó (Zaratustra)
Miguel Rellán (Don Gay)
Manuel Galiana (Dieguito)
Joaquín Hinojosa (El Pollo)
Antonio Canal (El Rey de Portugal)
Miguel Arribas (Serafín)
Antonio Gamero (Don Filiberto)
Fernando Telletxea (Mujer)
Cesáreo Estébanez (Borracho)
María Elena Flores (Vieja)
Abel Vitón (Pérez)
Wenceslao San Juan (Clarinito)
Saturno Cerra (Don Justo)
Manuel Sánchez Martínez (Carmelo)
Paco Catalá (Sereno)
Gloria Blanco (Portera)
José Yepes (Capitán Pitito)
Alfonso Castizo (Ujier)
Francisco Olmo (Mínguez)
Modesto Fernández (Lucio Vero)
José María Martí (Rafael Vélez)
María José Barroso (Chica)
Pedro Nieva Parola (Guardia 1º (as Pedro Nieva))
Francisco Torres (Sepulturero)
José Ramón Pardo (Guardia 2º)
Isa Escartín (Vecina 1ª)
Isabel Laq (Vecina 2ª)
Remedios Boza (Vecina 3ª)
Antonio Sesma (Viejo)
Mikel Albisu
Concha Hidalgo

Résumé

Les dernières heures de la vie de Max Estrella, un « andalou hyperbolique, poète d'odes et de madrigaux » déjà vieux, misérable et aveugle, qui jouit à un certain moment de quelque reconnaissance. Il est accompagné dans son pèlerinage dans une Madrid obscure, trouble, marginale et sordide, de Don Latino de Híspalis, et se voit donner la réplique par d'autres personnages de la bohème madrilène de l'époque.

Dans leurs dialogues, ils versent de façon magistrale de critiques sur la culture officielle et la situation sociale et politique d'une Espagne condamnée à ne pas reconnaître ses grands esprits.

Après de multiples vicissitudes, l'œuvre finit avec la mort de Max Estrella et se prolonge avec sa veillée funèbre. La pièce termine avec un soûlard qui crie : « Crâne privilégié ! », une expression répétée tout au long de l'histoire et qui résume l'approche « esperpentique » de la pièce.

L'anecdote de l'échec et de la mort d'un écrivain suranné est transcendée à travers la figure de Max Estrella. L'œuvre devient une parabole tragique et grotesque de l'impossibilité de vivre dans un pays informe, injuste et oppressif, comme l'est l'Espagne de la Restauration.

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(c) unapaginadecine.org

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