Le point fort de L'adorable voisine peut se situer ailleurs : par exemple au niveau des décors intérieurs -somptueux-. Objets d'art premier, peintures modernes, palette de coquillages, composent le cadre des appartements occupés par les personnages féminins. James Stewart évolue de son côté dans un décor plus studieux -bureau, bibliothèque- tout aussi bien agencé.
Mais il y a aussi les costumes des personnages -que l'on observe taillés sur mesure-. Le travail minutieux, très professionnel, de tout un studio (Columbia), de ses contributeurs souvent anonymes, est mesurable.
Nb : sans oublier un numéro surprenant -et de qualité- de music-hall de Philippe Clay, en français…
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