Intérêt de ce premier épisode de la série du "décalogue" de Kieslowski : (re)découvrir les immeubles grisâtres et sans âme de l'époque communiste de la Pologne, à la fin des années 80. La chaleur est dans les âmes, et le pape exerce une influence auprès de la population, qui ne sait visiblement pas trop à qui se fier (idée exprimée en filigrane, vu la censure locale de l'époque). Les idées existentielles énoncées sont intéressantes, mais le récit souffre d'invraissemblances qui en altèrent la portée. Dommage !