L'ombre d'un doute : j'en ai eu un en étudiant la note moyenne. Il y aurait eu 3 notes qui auraient permis de classer le film en rubrique "chef d'oeuvre". Or, menant mon enquête, je découvre 2 notes qui lui attribuent 6/6 : Frétyl et Urspoller… Un suspect se cache quelque part. D'office, j'éliminerai notre ami Impétueux : il a par trop de films de Hitchcock à découvrir pour être d'ores et déjà opérationnel… Et si c'était une femme ?…
Vous voulez dire que vous avez un soupçon sur Sépia .
Mon dieu La psychose ne va pas tarder a régner sur dvd toile ça me donne des sueurs froides …
En parlant de Psychose, j'avoue qu'il m'arrive de fredonner dans les couloirs de mon lieu de travail le thème musical de l'opérette La veuve joyeuse de Léhar, ainsi que Joseph Cotten
dans le film…
Et notamment, il est vrai, lorsqu'une collègue – dame d'un certain âge persuadée d'avoir toujours raison – s'est montrée insuportable.
Oui, comme le dit Marlene Dietrich à la fin de Stage fright
/ Le grand Alibi
: "Cela arrive, parfois."
Heureusement que nul ne fait le rapprochement avec L'ombre d'un doute d'Hitchcock,
ou je passerais pour un pervers aimant à trucider les vieilles dames indignes, et je connais plus d'un collègue qui m'inciterait alors à passer à l'acte.
Moi qui suis l'innocence personnifiée !
Si vous prenez le nord express le matin proposé un échange de meutre a un inconnu qui vous débarassera de cette vieille pique .
Voilà une idée intéressante. Je prends le tramway le matin, cela doit bien faire l'affaire… Mais tôt ou tard, on retrouvera le cadavre dans le coffre de mon salon, et je finirai la corde au cou !
Oui c'est embetant …… Alors fuyez sans jamais oublié que vous avez la mort aux trousses et que Fretyl est l'homme qui en savait trop .
Et si vous n'avez pas trop de "vertiges" ,derrière "La maison de docteur Edwardes" , à deux pas de "L'auberge de la Jamaique" , montez donc "les trente neuf marches" qui mènent à "Rebecca" , j'ai l'habitude de prendre le thé avec elle , derrière "Le rideau déchiré" , après "la cinquième colonne" près de la cage des "Oiseaux"…Nous discutons du " Procès paradine". Vous pourrez facilement me mettre "la main au collet" !
(ceux là , c'est pour moi!)
L'etau de l'inspiration se ressére . Je n'ai hélas plus d'idée avec les titres d'Hitchcock .
Je compte sur vous pour respecter La loi du silence…
"- Vous avez beau dire…y'a pas que d'la pomme ! ça s'rait y pas d'la betterave ? "
"-Si…. y'en a aussi ! -"
Oh ! Mais je perds le fil , là…Bon , je vais me coucher…
Oui c'est rigolo mais revenons en tout de méme au film .
Là, j'approuve ! Ca faisait quand même plus d'un an que j'attendais que ça se desserre un peu au niveau de DVD Toile ! Voilà au moins une série de messages sympas ! C'est bien un complot de famille…
C'est fait, le Meurtre a été commis et j'ai découvert son identité, il était Jeune et Innocent
et ne connaîtra jamais les Joies matrimoniales.
Je vais derechef le soumettre au Chantage.
Eh oui, Le crime était presque parfait, mais quand Une femme disparaît
, et vous me diriez Laquelle des trois
et vous auriez raison, l'Agent secret
fait diligence pour mériter un verre de Champagne
!
En tous cas, votre Grand alibi ne tient pas, mon cher Urspoller ! A supporter trop de Frenzy,
un jour ça craque !
OK je laisse tomber Le masque de cuir et je m'exile A l'Est de Shanghai.
Souhaitez-moi
Bon voyage
!
Tous autant que vous êtes, vous ne paraissez pas avoir remarqué – à tout le moins noté – la chose la plus fascinante qui soit : dans son premier message, Frétyl n'a presque fait aucune faute d'orthographe (une douzaine, seulement) et a développé une syntaxe correcte (en revanche, pour la ponctuation, ce n'est pas ça : il ne doit pas y avoir d'espace entre le mot et le point ou la virgule qui le suit, et il doit y avoir un espace après ce point ou cette virgule ; pour le point-virgule et les deux points, espaces avant et après).
Donc, de deux choses l'une : ou notre ami a été touché par la Grâce (je ne peux pourtant pas dire que j'ai demandé ce bonheur au Seigneur dans ma prière dominicale – ne soyons pas hypocrite ! -) ou il a odieusement pompé son commentaire.
Naturellement, la première hypothèse doit être véridique…
Ne soyons pas méchants avec Frétyl : le bénéfice du doute est une si belle chose !
Et les voies du Seigneur sont impénétrables…
Mais il est vrai que les progrès sont aussi subits que spectaculaires. A référencer parmi les miracles de ce siècle ?
Des vieilles barbes , Simon….Des vieux machins , te dis-je ! Des gros jaloux de ta jeunesse ! Ouh ! Sont'ils laids !!
Va , gentil Simon… Tu es le meilleur d'entre nous ! Ou en passe de le devenir….
En tout cas, allez à la messe reste peut-être un acte expiatoire et un serment de foi, mais ce qui est sûr c'est que ça ne rend pas plus intelligent ou indulgent envers les lacunes d'autrui.
Dites, Impétueux, vous vous prenez pour celui que vous vénérez ! De quel droit, jugez vous votre prochain ! Il me semble qu'il est question dans les Décalogues d'un Commandement s'y référant et que vous ne pouvez pas ignorez au vu de vos gloses passées !
Frétyl, je m'inscris en faux de cette majorité bien-pensante prompte à vilipender et à tancer ces jeunes dont l'orthographe n'est certes pas la qualité première. Mais pourquoi, ne pas lui laisser le bénéfice du doute et l'encouragez dans cette voie. Personnellement, je loue la pertinence de son commentaire. Point ! Je ne vais pas commencer à me torturer l'esprit pour savoir si Machin ou Bidule est vraiment l'auteur de sa gribouille ! Impétueux ! Lâchez lui la crémaillère, pardiou ! Sinon, je sens que je vais être désagréable.
Votre promesse d'être désagréable serait raison suffisante pour que je continue, vous savez : j'adore qu'on me dise chiche !…
Cela étant dit, je vous fais remarquer que c'est bien la première hypothèse d'un Frétyl touché par la Grâce divine que je privilégiais (y auriez-vous vu de l'ironie ? quelle drôle d'idée…) et que les camarades Droudrou et PM Jarriq m'ont rejoint dans ce grand élan de louange vers le Seigneur qui nous a, en un week-end, changé à la fois l'équipe de France de rugby et notre Frétyl !
Il n'y a pas, de ma part ni de celle de ceux qui le conjurent de faire attention à sa syntaxe et à son orthographe (ce sont d'ailleurs là des règles que l'équipe dirigeante a imposées, dans la page d'accueil du forum), il n'y a pas de mépris, mais de l'exigence. Croyez-vous que ce soit un bon service à rendre à quelqu'un que de l'estimer incapable de faire un effort ? C'est mépriser, précisément, la jeunesse que la confiner dans son ignorance des règles. Il m'étonne que vous prêtiez la main à cette entreprise de célébration de l'équivalence généralisée (l'orthographe ou le langage sms, c'est pareil, du moment qu'on se fait comprendre…).
Et pour conclure brièvement – brièvement, car ça n'est pas le lieu de parler de ça, autrement qu'anecdotiquement, sur un film qui n'est ni La Passion du Christ, ni Thérèse,
ni le Journal d'un curé de campagne
qui, entre autres, s'y prêteraient, pour conclure brièvement, donc, j'ajouterai que ma religion n'est pas le bouddhisme, ni une philosophie irénique et consensuelle, et que l'esprit des Croisades n'a rien pour me déplaire, loin de là. Qu'en d'autres termes, je laisse à Dieu le soin de nous réconcilier tous au Paradis, mais qu'une bonne guerre fraîche et joyeuse ne m'a jamais fait pousser des cris d'orfraie.
En tout cas, le dénommé Fretyl a le don d'attirer les défenseurs paternels et protectrices énamourées, et même de susciter apparemment, l'attention bienveillante du Tout Puissant. DVDToile aurait-il, sans le savoir, trouvé son messie ?
Comme disait Raymond Devos :
Jésus revient !
Mais non !
Mais si !
@urspoller
Désagréable avec son expérience il sait faire mais son humour n'est pas aussi développé à part « pipi sans sa maman » pour le découragement de ses proches et amis. Pour l'autodérision oubliez cela. Il a un handicap qui l'empêche cette gymnastique intellectuelle pourtant si salutaire pour qui a un ego si gros qu'il en devient grossièrement ridicule. Mais le Jourdain déteste au plus au point la dérision. Il veut la faire taire mais il ne fait que l'encourager avec son attitude persistante. La difficulté c'est de garder la bonne humeur et le sourire malgré certains adeptes de la colère. Tel une pomme pourrie qui risque de contaminer tout le cageot. L'ironie et le sarcasme est une arme a double tranchant qui montre aussi une forme d'intolérance aux fautes de raisonnement et de bon goût. Comment critiquer une forme d'intolérance si on souligne soi-même d'autres genres de fautes. C'est un dilemme assez délicat qui me laisse parfois sans réagir.
Pour Paul :
Cher ami, figurez-vous qu'en ce qui me concerne, j'étais justement en train de trier le cageot. Mot pour mot. Heure pour heure.
Pour Simon :
Simon ! Tu ne te tires pas ! Tu fais partie des habitués de DVD Toile ! Mais, de fait, si nous te connaissons par tes interventions, je crois que tout un chacun éprouve quelques difficultés à te situer ! Il est des instants où, malgré l'orthographe, tu nous amènes des critiques de qualité et il est des instants où, brusquement, tu t'égares… Si quand tu as des loisirs, tu écoutes (à moins que l'émission n'existe plus) "Les Grosses Têtes", tu te diras qu'il y a des gens qu'on regarde toujours comme des petits marrants et qui, pourtant, font avancer les choses ! Or, tu avoueras que tes interventions ne laissent pas de glace ! Alors, puisque c'est ton style…
Impétueux, vous commencez à m'échauffer les oreilles ! Quant aux croisades contre des pseudo-hérétiques et vos appels bellicistes, je trouve cela offensant de la part de quelqu'un qui se dit catholique (d'après ce que j'ai pu lire), car la métaphysique chrétienne se basent sur trois attributs moraux inextinguibles à savoir l'intelligence (remarquez que je ne mets pas la votre en question !), la volonté (idem) et l'amour. Ici, l'Amour est de la déférence, du respect, de la compassion, de la miséricorde, de faire montre de contrition, de tolérance… Et vous, qui allez à l'église comme certains vont au supermarché, vous laissez vos interrogations le tympan du portail, vos doutes dans le bénitier, votre suffisance dans sacristie, et votre fiel dans le confessionnal ! Vos certitudes basées sur vos interprétations personnelles m'irritent au plus haut point.
Invoquez vos Angélus, vos Kyrie Eleison, vos Ave Maria, vos Dies Irae à l'envi, mais permettez-moi de ne pas être d'accord avec vos dires, sans que vous n' interprétiez les miens à votre guise ! Où avez-vous lu que je loue « cette entreprise de célébration de l'équivalence généralisée » (sic), vous êtes comme ces prophètes qui tournent les écrits saints pour endoctriner la plèbe. Ce qui explique peut-être votre goût des croisades qui étaient jadis sous-tendues par des idéaux prosélytes obscurantistes et stupides. Dans mon commentaire, j'encourageais simplement la glose intéressante de Frétyl, mais, si vous n'êtes pas capable pas comprendre ma démarche, je n'en peux mais…
Vous qui vous indignez d'un manque de culture, de cette incapacité qu'à cette jeunesse débile et écervelée (bien sûr je m'inclus dans ce troupeau de brebis égarées). Vous qui vous croyez utile ou constructif dans ce dialogue intergénérationnel ! Ne trouvez-vous vous donc pas d'occupations adéquates qui nourrissent votre ego surdimensionné ? Alors, faites acte de commisération (si ce substantif a une signification pour vous !) et offrez alors votre temps libre aux personnes qui en réclament pour sortir de leur ténébreuse solitude. Courrez donc visiter nos anciens dans leur dénuement, dans leur déchirant isolement ou dans leur prison de verre à l'abri des regards et des bonnes consciences. Courrez donc offrir une de vos paroles érudites aux miséreux, aux nécessiteux ou aux moribonds. Voilà des actes simples et qui ne coûtent rien, sinon du temps, mais, pour vous, cela ne doit pas être insurmontable, puisque vous le gaspillez en vaines attaques, en joutes verbales ou en palabres gratuites. Ainsi, vous pourriez mettre en adéquation les dogmes de votre religion avec vos convictions, si vous en avez ! Votre culture, votre érudition, vos qualités (vous devez bien en avoir quand même !), votre intelligence ne vous mettent pas à l'abri de la compassion, de la miséricorde et de la contrition (bon là, je me répète…). Chacun mérite un minimum de respect, même les jeunes écervelés…
Mais, ne vous méprenez pas, ceci n'est point un sermon mais voyez-y plutôt une semonce, car je n'ai pas la prétention de donner des leçons -contrairement à vous-, je respecte un minimum les avis d'autrui et je suis loin d'être la perfection incarnée malgré ma catéchèse, mon éducation de droite, mes convictions pragmatiques. Mais, je connais mes limites ce qui me pousse à l'humilité et ce qui m'oblige à privilégier le dialogue et l'écoute plutôt que de cracher mon fiel, ma morgue au visage d'autrui.
Agissez et pensez plutôt avec votre cœur et moins avec votre tête !
A bon entendeur, Sébastien
Taratata, Urspoller ! Des oreilles échauffées ! Voilà qui m'impressionne !
Je ne répondrai évidemment pas sur vos monitions dites métaphysiques, surtout sur le fil de L'ombre d'un doute ; je laisse quiconque être athée, réformé, brahmaniste, caodaïste, franc-maçon, animiste et tutti quanti, et même catho progressiste (là, j'avoue que j'ai plus de mal, mais je me raisonne). Et vous ne saurez pas si je vais – ou non ! – donner un peu de mon temps à qui le mérite.
Mais revenons au sujet : vous n'êtes pas très ancien, sur DVD Toile, mais vous y êtes assez présent pour ne pas connaître notre Frétyl préféré qui a des défauts et des qualités également réels. Parmi ses défauts, il y a un style et une orthographe que vous m'accorderez volontiers comme devant faire l'objet d'une large progression.
Et voilà que tout de go, sur un film que je suppose complexe et riche, il nous sort une belle critique, dense, subtile et tout et tout. Je m'en étonne. Il ne faut pas ? On ne parle pas de ce qui fâche ? On cultive le consensus mou ? Ce n'est pas mon genre.
Je ne demande pas mieux que de croire que Frétyl a fait un réel effort de réflexion, de synthèse, d'analyse et que, comme je lui ai conseillé dans un message précédent, il a utilisé un correcteur d'orthographe (de médiocre qualité, il est vrai). Mais n'est-ce pas lui (je n'en suis pas tout à fait sûr) qui, il y a quelques semaines, a été pris la main dans le sac en flagrant délit de pompage par un contributeur qui n'est pas moi ?
Je suis ravi que le Diable se fasse ermite ; mais je vois tout de même les pieds fourchus dépasser de la sévère bure…
Sébastien,
vous avez raison mais vous parlez d'une érudition bien partielle qui ignore de multiples domaines dont la philosophie, la psychologie, la diplomatie, les sciences,… le cinéma d'Asie et j'en passe tant la liste est trop longue. C'est l'hôpital qui se fout de la charité.
Quand au raisonnement s'il percevait les erreurs qu'il fait il serait horrifié.
Impétueux je n'ai jamais été pris en flagrant délit de pompage !
J'ai encore une fois été trainer dans la boue pour avoir mis sur le forum de garde a vue une analyse appartenant à un magazine et qui était présente sur le web , mais a coté de laquelle été écrite ma propre critique et entre parenthése sous la premiére critique le nom du site d'ou été tiré l'analyse en question . Une chose que je ne risque plus de faire vue que l'on m'a tout de suite montré du doigt en hurlant salaud .
Paul, chacun mérite le respect même Impétueux et son ego surdimensionné. Chacun a ses limites, vous comme moi. Sauf que nous ; nous évitons dans la mesure du possible de donner des leçons aux autres. Voilà la frontière entre l'humilité et l'égotisme !
Impétueux, Le mépris m'indiffère. Et lâchez les amygdales de Frétyl. Il est dans la nature de l'homme de se tromper. Chacun devrait faire son introspection et vous le premier.
Le plus drôle dans tout ça, c'est que le thème n°1 de DVDToile n'est plus du tout le cinéma, mais… fretyl ! DVDToile devrait donc être rebaptisé FréToile.
A moins qu'il ne s'agisse, PM Jarriq, de pseudo-intervenants, à propos de pseudo-polémiques, pour une pseudo-animation de site… Quel cinéma ce serait, alors, n'est-ce pas ?!
Une chose est certaine : quand Frétyl est arrivé sur DVD Toile, il n'a laissé personne indifférent ! Il me fait soudainement penser à un film : Scaramouche ! Mais qui se cache sous le masque de Scaramouche ? Et un jour nous allons entendre : "Impétueux ! Where are You ?"
Ah, tiens donc… Moi qui apprécie infiniment Stewart Granger, je vous suis très reconnaissant de penser à moi pour un remake, d'autant que Mel Ferrer –
comte de Maynes – n'est pas mal non plus…
Scaramouche est un film étincelant ; et je n'ai – hélas, ami Droudrou ! – pas l'impression que nos échanges l'aient été tant que ça, étincelants : il reste encore des combattants sur le pré…
Le 20 de ce mois, je vais chez mon fils puîné et je récupère La horde sauvage ! La mitraille va cingler de toute part !… Par contre, c'est vrai que vous voir dans le rôle de Noël, mârquis de Maynes, est un peu osé de ma part mais je pensais au masque qui couvre la face de Scaramouche… le premier, le vrai, pas Stewart Granger !… Mais, ensuite, il faut broder avec l'histoire. Frétyl a appris à manier l'orthographe et la grammaire et possède une plume alerte grâce à… l'intercession du Saint Esprit. Devenu député de l'opposition, il arrive à l'Assemblée Nationale et lance un tonitruant : "Impetuous ! Where are You ?"… Que voulez-vous ? On se défend comme on peut ! "I know ! My face ! At 6 o'clock ! Behind the cathedrale !…" tandis que les traits cachés par un loup, notre amie Sépia contemple la scène…
Bravo , vous avez été sur plus de quarante messages avec moi et urspoller le seul à dire un mot sur le film !
Je laisse là ce débat. Pour souligner la prestation ahurissante de Joseph Cotten, magistral daans son rôle d'oncle Charlie. Encore une réussite de Hitchcock!
Il faut constater qu'a part l'etau et complot de famille Hitchcock ne me semble pas avoir fait d'autres mauvais films , mais enfin je ne l'ai ai pas tous vue il me manque à voir les amants du capricorne ,le grand alibi et lifeboat .
Simon : L'Etau – je dois te répondre à ce sujet. Mais j'ai nettement plus urgent à boucler pour l'instant. J'ai commencé à préparer les informations et je pense que les quelques explications que j'aurai à te fournir ne changeront peut-être pas ta perception du film mais, pour le moins, tu en sauras un peu plus afin de nuancer tes prises de position qui laissent quelquefois quelque peu songeur…
A propos des "Affaires de Famille" du tonton Alfred, je vais me débrouiller pour pouvoir me le procurer et le revoir – vu ce que tu aurais l'air de prétendre à propos de tes connaissances éprouvées sur la filmographie du père Hitchcock, je pense qu'il y a beaucoup plus de films de lui que tu n'as pas vus…
Tu ajouteras, une fois de plus, qu'on est toujours sur ton dos. Malgré toute la bienveillance qu'on peut éprouver à ton sujet, j'aurai la nette impression que tu n'en loupes pas une pour attirer l'attention d'autrui.
Tu me laisses donc quelques jours de battement et je reviens sur le site de DVD Toile.
En fait de sa période américaine, seuls M. & Mrs Smith et -à une moidre degré – L'Etau peuvent être considérés comme mineurs. Tous les autres, en raison des thèmes abordés, des scenarii souvent succulents et solides et des interpretes (Grace Kelly, Joan Fontaine, Ingrid Bergman, Cary Grant, James Stewart, Monty Clift, Henry Fonda, Joseph Cotten, Laurence Olivier, Charles Laughton ou Gregropy Peck) Des 57 films signés de Hitchcok, je dénombre une quinzaine de chefs d'oeuvre et une vingtaine de films méritant un 6/6. Une telle densité d'oeuvre majeure est remarquable!
Alors ,si je peux te donner un conseil ,Simon ,commence par "Lifeboat". Je n'ai pas vu beaucoup d'oeuvres de Sir Alfred mais j'ai eu l'occasion de revoir celle là récemment , c'est énorme !
Oui je n'ai pas vue lifeboat mais je le verrait comme les autres .
Et pour vous Droudrou qui pensez que je n'ai pas vue beaucoup d'Hitchcock ,sachez que mis a part ces trois cas à l'age de six ans je commençé les Hitchcock avec psychose et les oiseaux , alors vous savez étant cinéphile depuis toujours j'ai eu le temps de voir les autres ! J'ai méme vue ceux datant de sa période anglaise qui sont des raretés ,alors …
Okay, Simon ! Mais entre la vision qu'on peut avoir quand on est "très gamin" et celle d'un adulte voire même à un moment devenu sénile, il y a de très grands pas ! Mais ce n'est pas un reproche…
Dont acte !
Une manie ! J'ai répété cela dix fois au moins (de façon un peu moins explicite , certes) et je suis heureuse que l'homme à la winchester au canon scié approuve .
Il n'y a pas "l'ombre d'un doute" que rien ne vaut l'oeuvre – et, d'ailleurs, quel plaisir de la retrouver à intervalles réguliers, comme l'on rend visite à un ami -, mais, que je sache, c'est l'admiration pour l'oeuvre qui donne justement envie d'expliquer en quoi l'on a été séduit, bouleversé, changé par elle. Et proposer une point de vue détaillé sur un film que l'on aime n'induit nullement que l'on "impose un avis" : c'est, tout au contraire, offrir un regard personnel sur un film, que vous êtes en droit de partager ou de refuser (et, alors, il vous appartient de donner votre propre vision). Dois-je préciser combien de fois il m'est arrivé de considérer, autrement que je ne l'avais vu, un film après en avoir lu l'analyse faite par des critiques professionnels ( ou des amateurs éclairés) – que je ne remercierai jamais assez ?
Je ne vois vraiment pas en quoi proposer une explication personnelle d'une oeuvre peut être assimilé à une forme de "terrorisme intellectuel"…
Je faisais référence aux longues digressions sur le "statisme de la clé" sur le forum du Crime était presque parfait, aux sentences censées êtres définitives du type "Godard inspiré cette fois-ci a filmé la vie(ce mystère)dans cette histoire d'un insurgé contre la société de consommation qui refuse l'état social et vit dans la poésie…", enfin à ces joutes oratoires entre les contributeurs qui rivalisent d'esprit sur des sujets anecdotiques…
Si on ne peut plus donner d'avis et même critiquer, il sert à quoi ce site
A trop analyser les films, on créé une sorte de méta-langage : tel exégète livre telle analyse d'un film, et ensuite ses propos sont repris, analysés, disséqués. On s'éloigne alors du cinéma, on ne fait plus la critique d'un film, mais la critique de la critique … On perd le rapport matériel, tangible que l'on peut avoir dans une salle de cinéma.
Je suis assez d'accord avec Steve McQueen mais je parlerais ici de méta-critique.
La manie -typiquement française, en particulier dans les "cahiers du cinéma"- de l'analyse sauvage est un leurre qui consiste à voir dans un film des choses qui n'y sont pas. Bien sûr chaque spectateur s'approprie le film, mais vouloir imposer un avis, analyser en profondeur un plan sur un robinet ouvert ou sur un téléphone qui sonne, c'est une forme de terrorisme intellectuel.
Ca devient du terrorisme que si on y donne trop d'importance. Si on la prend comme une interprétation possible d'une oeuvre artistique qui en comporte plusieurs dont celle de l'artiste lui-même alors ca n'en est plus vraiment. Je suis d'accord pour dire que des critiques seraient surpris de l'idée originale de l'auteur. Maintenant si l'interprétation est cohérente et plausible laissons là et sinon il faut faire la rectification qui s'impose. Bien sûr qu'un commentaire bien construit et rédigé nous influence favorablement sinon on ne paierait pas si cher un bon avocat qui doit persuader un jury ou un bon commercial qui doit vendre son produit au client.
Il faudrait aussi parler de ce qu'un film inspire d'interessant à un spectateur plutôt que se limiter à la description minutieuse qui est un peu redondante avec le film.
"Pseudo-intervenants, pseudo polémique" dit Gaulhenrix : Oui, quand on voit surgir autant de pseudos différents dont la prose est identique !
Commençant un peu à me lasser des attaques personnelles, des conflits générationnels, des crises d'adolescence des uns, et des propos orduriers des autres, je propose qu'on se recentre un peu sur le cinéma.
A quoi sert un site comme DVDToile, à part échanger des avis utiles sur des films qu'on a vus (le choix est tel, qu'on apprécie de lire l'opinion de gens dont on partage les goûts ou dégoûts, sur des films dont on ne sait rien) ? Alors les avis à l'emporte-pièce ne servent pas à grand-chose, et si les digressions peuvent parfois être amusants, ces échanges deviennent exaspérants quand ils prennent le pas sur le reste.
Parlons de films, échangeons nos avis, engueulons-nous là-dessus s'il le faut, mais laissons de côté politique, religion et antipathies personnelles, tant que faire se peut.
Non ?
Silverfox et vincentp : vous avez dû mal lire. Je ne critique en rien le fait de "donner son avis, commenter et même critiquer" .Simplement quand je vais sur ce site – excellent au demeurant – j'ai l'impression que certains contributeurs s'en servent comme d'un salon de discussion privée (cf le forum de "Lune Rouge"), avec force jeux de mots désopilants et moult démonstrations de virtuosité linguistique absolument époustouflantes.
Si donner un avis un minimum "argumenté", c'est à dire qui ne baigne pas dans un conformisme aux fortes effluves de naphtaline, qui tente – modestement – d'échapper à une pensée préfabriquée encore sous cellophane (notez que dans cette phrase joliment balancée je sombre dans les travers je dénonce) c'est être "le Savoir, L'Important, la Lumière, l'Exégèse", alors j'accepte le compliment avec une joie non feinte, mon cher Silverfox.
La question se pose alors de savoir si je suis un "pseudo-intervenant" cherchant à créer "une pseudo polémique" ; la réponse est indubitablement oui, si l'on en croit ce cher vincentp, qui cite Gaulhenrix, argument d'autorité imparable. Je pense en effet qu'en jetant l'anathème sur Godard par exemple, on peut tenter de remettre en cause ces "dinosaures" du cinéma qui produisent des films bourrés de prétentions auteurisantes, gonflés de narcissisme et conscient de mettre en place une profondeur qu'il ne possèdent malheureusement pas (je digresse certes, mais je note au passage que le scénario de "King Lear" a été écrit dans un restaurant, sur une nappe de table, probablement à la fin d'un repas bien arrosé; mais qu'importe puisqu'il s'agit selon Hélène Raymond de la "sagesse paradoxale d'une folie douce, ou les mille plateaux de l'existence, du passé et du futur, de l'art et de la réalité, se mélangent"…
Enfin je m'étonne d'une assertion telle que, je cite ,"quand on voit sortir autant de pseudos dont la prose est identique" : il est vrai qu'il faudrait revenir à un langage plus direct, plus en prise avec la réalité; on pourrait ainsi s'imaginer Pierre Murat s'exclamant dans Télérama : " Ce film, c'est trop d'la balle , sur la vie d'ma reum !!!C'est un truc de ouf, ma parole !!!"
Sur ce je vous laisse, il faut que j'aille recharger ma winchester à canon scié.
Je viens de découvrir Shadow of a Doubt et j' avoue être assez déçu . Je ne retrouve pas dans cette œuvre la patte d'Alfred Hitchcock.
Du moins son sens foncier pour le suspense. Et si Joseph Cotten
sait jouer de l'ambivalence avec une habileté sans faille, l'affaire est entendue dès le départ de l'histoire. Ou peu s'en faut. Seule, la relation qu'il entretient avec sa nièce, la jolie Teresa Wright,
(formidable et très belle Ellen dans C'étaient des hommes)
relève de l'ambiguïté pesante. Pour le reste, la messe est dite très tôt dans ce film qui accumule les clichés se voulant anxiogènes. L'ombre d'un doute
…mais vraiment une ombre, alors. Pas plus.
Peut-être nous arrive t'il de douter, quelques rares fois, mais si rares. Et le mérite en revient beaucoup plus à la musique prenante de Dimitri Tiomkin qu'à la situation elle-même. Nous sommes bien loin du Crime était presque parfait
et son rebondissement inattendu ! Bien loin également de Vertigo
et son mystère grandissant de bout en bout ! Et nos Oiseaux
! Bien sur que Hitchcock
n'a pas de leçons à recevoir pour la direction d'acteurs, le choix d'un décor ou l'art de la concordance de la musique avec l'action en cours. C'est un Maitre. Dans Shadow of a Doubt,
la sauce générale est très loin d'être indigeste, liée par tous les ingrédients nécessaires à la bonne tenue d'un film hitchcockien. Mais hélas, nous sommes beaucoup plus soumis à un ballet énamouré entre un oncle et sa nièce qu'à un véritable suspense censé nous tenir en haleine. Sans parler de la fin, dans le train, où on ne sait comment cette fragile jeune fille arrive à balancer le tonton par la portière…
Mais tous les films d'Hitchcock ne sont pas les chefs-d’œuvre que l'on porte au pinacle. Je me souviens, par exemple de L'Inconnu du Nord-Express
qui se veut être une idée extraordinaire où Farley Granger
et Robert Walker
doivent, du moins au début de l'histoire, échanger leurs crimes. La théorie de Robert Walker
se voulant imparable. Mais il était bien évident que, même perpétré par un inconnu, les crimes respectifs auraient entrainé immédiatement les soupçons sur, d'une part Farley Granger
qui détestait sa femme et Robert Walker
attendant l'héritage de son père. L'idée n'était pas si brillante que ça. Cela étant, le film est quand même une réussite.
Bien plus, en tous cas, que ce Shadow of a Doubt qui fait pâle figure dans la filmographie du Maitre du suspense. Mais je ne voudrais pas chipoter. Alfred Hitchcock
restera, lui seul et pour l'éternité, le Monsieur qui a su nous faire frémir bien des fois et avec tellement de talent. "-Bonchouaaaaaaarr, csssshers amis….-"
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