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Forum : Parle avec elle

Sujet : Oui, mais...


De vincentp, le 21 août 2007 à 22:28
Note du film : 5/6

Un très bon film, réalisé de façon très professionnelle. Il est simplement dommage que le scénario accumule certaines situations bien invraisemblables, en particulier sur la fin.


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De verdun, le 21 août 2007 à 22:31
Note du film : 5/6

Superbe film, l'un des plus beaux d'Almodovar et un grand succès mérité. Une ribambelle d'idées géniales, poétiques et osées, notamment la mémorable parodie de L'homme qui rétrécit de Jack Arnold.

Comme l'écrivait le Nouvel Obs, Almodovar fait partie de ces rares cinéastes d’aujourd’hui dont les œuvres soutiennent la comparaison avec les chefs-d’œuvre de l'âge d'or du septième art.

Un film qui marque même si je ne l'ai pas vu depuis sa sortie en salle il y a maintenant cinq ans. Quand on aux situations trop grosses, elles ne m'ont nullement choqué. C'est la loi du mélodrame, de Sirk à Minnelli en passant par Demy. Et le cinéma actuel manque souvent suffisamment de folie, d'émotion et de risque pour que l'on boude les excès almodovariens.


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De Impétueux, le 2 novembre 2013 à 10:35
Note du film : 4/6

Je n'ai pas d'opinion bien tranchée sur le cinéma très baroque de Pedro Almodovar, dont je n'ai pas vu grand chose, il est vrai, Attache moi, qui ne m'avait pas déplu et peut-être (mais je ne m'en souviens guère) Talons aiguilles. Je ne peux pas dire que ce qui parait être son originalité profonde, les relations mère/fille et la quête de l'identité sexuelle, le goût de la marginalité fassent partie de mes préoccupations habituelles…

Mais tombant l'autre soir, en manipulant la zappette sur Parle avec elle, alors que le film avait commencé depuis une bonne dizaine de minutes et qu'il était déjà tard, je suis resté sans déplaisir devant mon écran, un peu interloqué devant l'originalité de l'histoire et la qualité du jeu des protagonistes, notamment l'infirmier Benigno Martin (Javier Cámara) qui arriverait presque à faire partager sa douce folie, jusqu'à ce que…

Jusqu'à ce que, précisément, il dérape et viole la jeune fille Alicia (Leonor Watling) dont il s'occupait avec tendresse et amour ; on peut comprendre la dérive d'un esprit faible, mais la scène est d'une grande laideur, le sexe (de carton-pâte) d'Alicia en gros plan faisant penser aux pires images de Calmos

Cela dit, c'est assez attachant par ailleurs, habilement construit. Mais je ne marche pas totalement…


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