Forum - Sérail - J'avoue être fort intrigué par ce trio de dames...
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Sujet : J'avoue être fort intrigué par ce trio de dames...


De Arca1943, le 12 septembre 2006 à 01:09
Note du film : 2/6

…qui a dû me passer sous le nez à l'époque. J'étais pré-adolescent dans la seconde moiitié des années 70 et je dévorais les films en quantités industrielles, mais celui-là est inconnu à mon bataillon. Pourtant, Leslie Caron, Bulle Ogier, Marie-France Pisier, voilà un sacré trio de dames !

Quelqu'un connaît-il ce Sérail ?


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VOTE
De Impétueux, le 12 septembre 2006 à 10:36

Jamais vu non plus !

Mais comme l'idée paraît intéressante, que Leslie Caron a un minois délicieux et que Marie-France Pisier est une de mes rêveries favorites, je vote de confiance !


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De Arca1943, le 17 avril 2008 à 13:54
Note du film : 2/6

Merci pour ce vote, Impétueux ! (Remerciements qui sont évidemment un prétexte pour ramener ce titre peu connu en haut de la liste).


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De Impétueux, le 17 avril 2008 à 19:09

Votre roublardise, cher Arca est sans limites !

Mais elle est au service de si bonnes causes !


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De Arca1943, le 6 novembre 2009 à 14:01
Note du film : 2/6

Roublardise sans limites, roublardise sans limites… Je vous en ferai, moi, des roublardises sans limites ! Piqué au vif quelque 18 mois plus tard, j'en profite pour ramener au haut de la liste ce film français obscur qui m'intrigue beaucoup, notamment par son casting féminin de rêve.


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De Arca1943, le 7 juillet 2012 à 16:38
Note du film : 2/6

Eh ben mes vieux. Sérail, c'est Cortazar en gros sabots. Une fable fantastique que l'on voit venir à des kilomètres. Je suis surpris d'un tel film de la part d'un scénariste passant à la réalisation : car la principale faiblesse du film, c'est son scénario ! Il y a une intrigante idée de départ, cette immense maison de campagne un peu délabrée où habitent trois femmes – deux soeurs et leur domestique à qui la demeure a déjà appartenu – qui jouent un jeu curieux aux dépens d'un éventuel repreneur (Corin Redgrave, pas trop à l'aise). Or dans l'idée de départ, on est toujours quand le film se termine. Certes, ça se termine sur une chute – encore heureux ! – quoique plutôt prévisible (prévisible en tout cas pour le lecteur de Cortazar, de Jean Ray…). Mais additionnez l'idée de départ et la chute, ça nous fait en gros 10 à 12 minutes de court-métrage. Entre les deux, pour combattre l'ennui distingué, la redondance d'une intrigue en sur-place et les tics du "cinéma d'auteur" façon 1975, on peut toujours se rabattre sur le jeu racé de Leslie Caron, la fraîcheur de Marie-France Pisier ou le cabotinage amusant de Bulle Ogier en nympho, l'érotisme léger de quelques scènes de baignoire, la photographie superbe signée Ricardo Aronovich, la bande sonore pour piano seul… Ce n'est pas rien, mais c'est trop peu. Je reste avec une forte impression de gaspillage de talent et le soupçon que je ne verrai pas de sitôt un autre film de Eduardo De Gregorio (méritoire scénariste, par exemple pour La Stratégie de l'araignée).


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