Comment cette illustre inconnue, Sarah Ohana, se permet-elle de donner des cours sur le cinéma ? qu'est-elle, qu'imagine-t-elle êtee ? Ne peut-on se faire soi-même une idée sur un film sans subir les lourdes péroraisons d'une prétendue sachante ?

Tout ces subventionnés par la charité nationale qui leur permet de survivre ont-ils la moindre importance ? Nous valons tout autant et mieux qu'eux…

Une rare occasion toutefois de voir un extrait du "Clair de Terre" de Guy Gilles, film sorti en 1970, soit deux ans après son travail de coréalisateur pour "Treize jours en France". L'enseignante-chercheuse en cinéma a retenu l'extrait en question pour illustrer son propos.

Effectivement, cette conférence (de 85 minutes) que je viens de suivre de façon assidue est intéressante. Elle établit des corrélations entre la mémoire de l'humanité, l'oeuvre de Tarkovski, de Brueghel, et même de Lars von Trier (via Melancholia). Tarkovski et Von Trier utilisent ainsi de différentes façons, à plusieurs reprises, le tableau de Brueghel, "chasseurs dans la neige" (1565) censé incarner cette mémoire de l'humanité. L'oeuvre de Tarkovski est d'une façon plus générale, une oeuvre qui porte sur la mémoire, et ses souvenirs fragmentés. Viator, vous avez raison de rappeler l'apport de Guy Gilles sur ce thème également. Quant à l'enseignante-chercheuse, elle est intelligente, cultivée et plutôt agréable à regarder et à écouter ! Je préfère largement cette personne au maire de ma commune, le fou-massacreur des séquoïas. Mais ceux-ci se vengeront et cet individu, qui incarne à mes yeux toute la bassesse et la médiocrité dont peut être affublée une part de l'humanité, ira rôtir en enfer.