Le sympathique Patrick Brion est le Dupond-Moretti du western : il défend des causes difficiles. Cette
Vengeance d'un indien repose sur un scénario faible ou abondent des invraisemblances. Brion nous apprend au passage que le film n'est pas sorti en salles. On en comprend les raisons : sujet difficile en 1956 (les indiens sont victimes des blancs), pas de vedette à l'affiche, et un résultat assez modeste. Une oeuvre destinée à un public contemporain réduit.