La seule scène mémorable est celle où Charles Denner annonce son futur rôle de séducteur de L'homme qui aimait les femmes.
Je partage ce point de vue… Denner y est formidable dans un registre assez pathétique.
La palme revient au flash- back ridicule nous expliquant les motivations de Julie Kohler. Ce qui devait être une tragédie vire alors à la grosse farce.
Il est vrai qu'on a rarement vu un type mourir si souvent et ne jamais tomber de la même façon. Quant' aux invraisemblances, elles sont légion. Comment Julie a t'elle pu si vite retrouver tous les quatres "assassins" alors que pour avoir le simple nom d'un livreur de Pizzas, il faut presque passer par le procureur de la république ! Et qui lui a donné l'assurance d'être enfermée dans la même prison que le ferrailleur ? (Daniel Boulanger). Comment peut on être assez fou pour essayer de récuperer une écharpe, suspendu à cent mètres au-dessus du vide ? (Claude Rich). Et les boniches qui laissent rentrer n'importe qui quand elles font le ménage chez les gens ! (Michel Bouquet) .Et la maitresse d'école, Alexandra Stewart, relâchée, juste parce que les flics recoivent un coup de fil de Julie décrivant la lampe du gosse ! Ce film est bourré d'invraisemblances !
Ca gâche par que les acteurs y sont très bon.
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