Un jeune anglais idéaliste découvre la famine en Ukraine, sous Staline. Il s'agit d'un film politique très intéressant qui porte un regard éclairé sur une époque (l'avant deuxième guerre mondiale), questionne les avantages et inconvénients des systèmes communistes et capitalistes, et les aspects moraux associés au journalisme. Des qualités cinématographiques évidentes, le budget de tournage est confortable mais aussi bien employé, avec des décors imposants.
L'ombre de Staline
(2019) place cette histoire à hauteur d'hommes, mettant en scène des personnages crédibles. Excellente gestion des déplacements physiques, avec des plans-séquence marquants. Quelques infimes réserves concernant le caractère peu compréhensible de certaines séquences à la première vision.