Puis il a refilé le bébé à Benjamin Rocher, le réalisateur, qui nous balbutie un film imbécile, sans éclats ou juste illustré par quelques pétards mouillés. Le plus mouillé étant le générique avec une version de Gabrielle de Hallyday chantée par une donzelle énervante à souhait , sur fond de baston laborieux . Quelques sourires nous sont arrachés, ici et là . Pas l'ombre d'un suspens, pas même une histoire sentimentale sérieuse qui serait venue relever un peu le niveau . Ennui total . Même pendant les fusillades qui se voudraient d'enfer mais qui, à bien y regarder, sont assez ridicules. On veut lorgner du côté de Heat mais on reste au promenoir. Je disais en évoquant la proie qu'on rivalisait sérieusement avec les Américains . Auprès de cet Antigang, on est au troisième sous-sol étasunien ! Ca papote beaucoup pour ne rien raconter et tenter de combler le vide de ce film qui se voudrait grand thriller à la française mais qui n'est que petit essai pas même transformé . Et puis, je le répète, ce Reno avec ses kilos et cette barbasse, boudi ! Qué molasson ! Antigang est une caricature de je ne sais trop quoi . En tous cas, d'un film de série z, pour le moins !
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