Il s'agit pourtant d'un film assez décevant. La photo et la réalisation se parent de nombreuses qualités mais le scénario tire à hue et à dia.
Le début est prometteur: un flash-back mettant le sex-appeal de Sophia Loren, religieuse sensuelle (oxymore!) établie en Libye.
Mais cette histoire d'amour entre une nonne (Loren) et un militant communiste (Adriano Celentano), sorte de version romantique de Don Camillo, ne convainc pas sur la longueur, tant le mélange humour-drame est ici inabouti et tant manquent la vigueur et la férocité qui ont fait le prix des meilleures comédies italiennes. Par ailleurs, l'ensemble est accompagné d'une musique aussi sirupeuse qu'envahissante.
Dommage car dans un rôle qui, sur le papier, ne lui convenait guère, la Loren nous donne ici l'une de ses meilleures interprétations.
L'oeuvre de Lattuada mérite sans doute une réédition mais ce Bianco, rosso e… ("blanc et rouge", les deux couleurs communes des drapeaux italien et libyen) n'est pas une franche réussite.
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visiblement apprécié de 
qui l'a programmé à plusieurs reprises dans son 
religieuse sensuelle (oxymore!) établie en Libye.
, sorte de version romantique de 
ne convainc pas sur la longueur, tant le mélange humour-drame est ici inabouti et tant manquent la vigueur et la férocité qui ont fait le prix des meilleures comédies italiennes. Par ailleurs, l'ensemble est accompagné d'une musique aussi sirupeuse qu'envahissante.
("blanc et rouge", les deux couleurs communes des drapeaux italien et libyen) n'est pas une franche réussite.