La photographie noir et blanc, la qualité des prises de vue, de
Nicholas Musuraca sont un atout de
Le premier rebelle.
Le rythme de ce récit produit par la RKO est très rapide, et les péripéties abondent. L'écriture cinématographique est logiquement celle de la fin des années trente. Le scénario est par moments à la limite du compréhensible, mais ce film se laisse regarder sans déplaisir.
George Sanders compose un officier britannique cynique : ce rôle lui va comme un gant.
John Wayne est discret : il n'a pas trouvé tous ses repères, ou le metteur en scène (
William A. Seiter)
ne sait pas l'utiliser au mieux. Le résultat global est moyen.