J'attend avec impatience votre avis sur "Moi, la femme", je l'ai vu le mois dernier et j'ai adoré ! (de toute façon, je suis raide dingue de Monica Vitti, je la trouve hyper belle…) ;)
sinon "Sesso Matto", j'ai réussi à le dénicher, par contre il a fallu que je traduise grossièrement les sous-titres (espagnols à l'origine), j'ai juste visionné quelques extraits pour le moment (ah, la scène avec Laura Antonelli sous la table d'un salon bourgeois ! je ne m'en remet pas)
Introuvables, certes. Mais côté satires à sketches, nous avons quand même sur DVD Moi, la femme du même Risi (dont je parlerai bientôt) et Parlons femmes d'Ettore Scola… Mais vous avez raison, il en manque plusieurs fort croustillants et juteux, comme À l'italienne ou Sessomatto…
Mais non, je n'essaie pas de vous piéger, allons ! D'ailleurs, des curés sympas, il y en a eu, je ne dis pas le contraire, tel ce père Ugo Bassi, éloquent prédicateur qui a sa statue quelque part en Italie, car il s'est courageusement battu aux côtés de ses frères libéraux contre les forces pontificales. Il fut fusillé par les Autrichiens le 8 août 1849.
Pffttttttttt ! Cher Arca, vous essayez toujours de me piéger là-dessus !
Combien de fois devrai-je vous dire que l'anticléricalisme se construit forcément sur la même base d'étonnement que les humains ne soient pas des anges ? Et que le fait qu'il y ait eu, et qu'il y ait encore, des clercs paresseux, gloutons, pédants, orgueilleux, intéressés, libidineux, cruels, voleurs, criminels même m'est encore raison suffisante pour me conforter ? Qu'une institution qui a compté tant de canailles dans son sein se perpétue depuis deux-mille ans m'est preuve suffisante pour en tenir pour divine l'origine !'
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