Ava Gardner joue la cerise sur le gâteau. Son personnage n'est pas indispensable mais elle apporte une touche de sensibilité et d'émotion rafraîchissante au milieu de ces jeux de pouvoir virils, qu'elle soit grise ou à jeun, et semble comme souvent incarner le personnage sans jouer un rôle. Mais dieux comme les coiffures des sixties lui vont mal ! ! !

Bien d'accord avec PM Jarriq et Droudrou ! Filmé dans un somptueux noir et blanc, soutenu par une musique angoissante et électrisé par le duo Douglas/Lancaster, Seven days in may est le chef d'oeuvre de Frankenheimer !

Nouvel espoir américain du début des années soixante, Frankenheimer était le yes-man talentueux de Lancatser : ils ont ensemble pris le "train en attendant que les "parachutistes arrivent" pour échapper au "temps du chatiment"…

Douglas a toujours envié Lancaster, restant dans son ombre, sauf dans OK Corrall où il compose un émouvant Doc Hollyday…