Comme le dit le délirant message de l'autre fil, signé Tina Moinzune, c'est précisément parce qu'on ne sait pas quoi que c'est sublime !
La bouillie intellectuelle de Mai 68 se mord donc la queue et c'est fort bien ainsi…
Eh bien, étant donné le mot d'ordre situationniste d'abolition de l'art, il est encore heureux qu'il se soit tourné quelque chose. Mais quoi ?
Grand Prix du Festival de la recherche à Hyères, en 1982.
Le film est en vert et blanc ,avec de la chair, des chutes de reins et des chutes d'eau, traversé par la voix totémique de Jacques Lacan. Aucun document filmé autre que cet incroyable long métrage ( 90 minutes d'éveil paradoxal!) ne représente mieux cette époque dite freudo-marxiste de la fin des années 70. A voir toute affaire cessante – comme d'ailleurs tous les films d'Enard qui ont cette magie : extirper de l'Histoire – de la grande Histoire – aux corps des héros, figurants-acteurs d'un contexte qui les habite et les dépasse.
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