Quarante cinq premières minutes d'une qualité impressionnante et une conclusion qui l'est tout autant. Mais l'épisode guerrier intermédiaire, très sombre, trop long, est un ton en dessous et convient nettement moins à Henry King. Echec à Borgia (1949) n'est pas le plus accessible des films de ce cinéaste. Mais pour les cinéphiles, c'est un must, ne serait-ce que pour son générique (acteurs et techniciens), ses décors italiens réels, une multitude de séquences inoubliables, l'intelligence du scénario. Une réédition bienvenue (très belle édition blu-ray, avec une interview de l'inévitable Patrick Brion en supplément, qui appose à cette œuvre, depuis son jardin, une bénédiction "urbi et orbi").
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