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Voici les derniers messages de ce forum :

J'ai hâte...


De Tamatoa, le 19 juin 2013 à 21:02
Note du film : 5/6

C'est signé : Neal H. Moritz, l'heureux producteur de la série à succès Fast and Furious a acheté les droits pour un remake du Prophète de Jacques Audiard ! Le casting n'est pas encore déterminé mais le début du tournage est déjà prévu pour début 2014. Reste à savoir ce qu'il va en faire…


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De Nicoco, le 14 juin 2012 à 22:36
Note du film : 5/6

Je rejoins l'avis très positif des précédents contributeurs sur ce film. Je n'ajouterai que deux choses :

  • Comment oser comparer Le Prophète, un film intelligent, profond, avec la série, spectaculaire mais très hollywoodienne et donc toujours dans l'exagération, qu'est Oz ? Voyons, ce n'est pas sérieux.
  • Une image m'a marqué, celle de la scène finale que je relie directement à la première scène d'introduction : une sortie de la prison, avec dans la profondeur de la caméra un défilé de grosses voitures, Malick est devenu un chef de gang en prison alors qu'il y est entré de manière timide et très impressionné (la première scène de l'interrogatoire est sur ce point assez frappante). Alors certes, il était déjà délinquant et pas qu'un peu pour atterir directement à la Centrale comme l'explique l'Impétueux, mais n'y-a-t-il pas dans ces deux scènes qui embrassent le film un message ?

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Au palmarès des "Césars"


De Arca1943, le 6 avril 2010 à 00:16
Note du film : 5/6

« Mais dans une société globalisée, est-il pertinent de continuer à célébrer l'esprit gaulois ? »

On pourrait poser la même question au sujet des Oscars. Mais nous ne sommes pas du tout dans une société globalisée ; il s'agit d'une illusion. Ou plus exactement, au plan culturel ce slogan de la globalization n'a eu pour résultat – particulièrement frappant dans le domaine de l'audiovisuel – que la dislocation du monde. Dans tous les pays à travers le monde, les films étrangers autres qu'américains se raréfient, pour ne pas dire qu'ils sont en voie de disparition. Aussi, à cette self-fulfilling prophecy, destructrice de la diversité du monde, j'oppose résolument un principe puisé à la meilleure source de l'antifascisme libéral : l'Interdépendance des peuples, principe proclamé haut et fort par nul autre que le comte Carlo Sforza, dont voici du reste la photo officielle en couleurs.

Ou pour le dire dans les mots de Simone Weil dans L’Enracinement : prélude à une Déclaration des devoirs envers l'être humain (1943) :

« Pour qu'il y ait échange, il faut que chacun garde son génie propre ». Et j'ajoute : pour garder son génie propre, il faut que chaque culture soit irrigée par plusieurs influences culturelles extérieures, non par une seule.


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De gilou40, le 2 mars 2010 à 01:34

Oui, c'était en 1984, sur l'Antenne 2 de l'époque, dans une émission qui s'appelait "Vive la crise". L'acteur venait expliquer au bon peuple comment se passer de ce qu'on ne pouvait plus s'offrir….Puis le canard enchainé révéla que Montand exigeait la bagatelle de huit cent mille francs (80 patates !) pour s'exprimer. Harcelé par les journalistes, il finit par avouer (après bien des réticences) que c'était la pure vérité. Puis ce fut l'escalade des reproches sur la fortune et les bagnoles de luxe de ce "communiste". D'ou sa colère et cette phrase restée fameuse….


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