Ils furent cinq. Puis quatre. Puis trois. Ils nous ont fait bien rire. Mais voir Bourdon, seul, dans ce rôle dérisoire, tellement grossier de voyante poudrée, pomponnée à outrance, cette Madame Irma tellement inbuvable avec son dentier de carnaval qu'on se demande si même Sim aurait accepté de jouer ça, la question se pose de savoir ce qui peut bien se passer dans la tête de ces artistes qui sombrent tout à coup dans le grand n'importe quoi ! On est à deux doigts de penser qu'ils avaient faim… Ce n'est pas drôle, c'est dramatiquement ridicule. Nous sommes là dans l'indigence absolue. On sent bien que même Légitimus est venu à contre coeur donner un coup de main au copain, en souvenir du bon vieux temps. Sûrement pas par amour du scénario.
Oui, c'est triste…Et les trois autres n'ont pas pu apprécier. Je me refuse à le croire. Et les sourires de félicitations ont du être bien jaunes. Et les joues rouges de honte. Comme les pommettes de Madame irma…
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deux ans plus tard, autre lamentable aventure dans laquelle s'est perdu le pourtant talentueux 
Le non moins navrant 
ne vaudra que par le sourire éclatant de la belle 
Lequel sourire sauvera du naufrage et attenuera (un peu) le ridicule, désormais abonné à la personne d' un inconnu célèbre. Evoquerai-je la consternante et désastreuse reprise de 
? 
doit se retourner dans sa tombe !
tellement inbuvable avec son dentier de carnaval qu'on se demande si même 
est venu à contre coeur donner un coup de main au copain, en souvenir du bon vieux temps. Sûrement pas par amour du scénario.