Les écoles de cinéma parisiennes vénèrent toujours aujourd'hui Jean-Luc Godard, considéré comme un gourou (*), et on assiste depuis des années à une prolifération de films d'auteurs français assez peu grand-publics, ce qu'un de mes amis appelle le cinéma "intello-parisien". Même la cinémathèque que je fréquente a sa part de responsabilité (cf édito de la brochure de novembre ou il est écrit que la mort de Godard "nous laisse désemparé"). Un peu comme la Mannschaft éliminée hier au premier tour de la coupe du monde, le cinéma français doit se renouveler en profondeur, changer ses méthodes et ses contributeurs.
(*) https://www.francetvinfo.fr/culture/cine(..) "Il a tout fait, complète Nicolas Lasnibat, le directeur des études de la Fémis. On peut faire une école de cinéma rien qu'en regardant les films de Godard."
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