4,5/6. Très bon film effectivement, vision caustique et savoureuse de l'armée et de ses combines de l'arrière (à l'image de la société), préfigurant Mash. L’éclectique Arthur Hiller (Love story, Tirez pas sur le dentiste, …) conduit le récit sur un rythme enlevé, à l'aide de plans séquences très élaborés, produisant un effet de vie et de naturel. La photographie en noir et blanc de Philip H. Lathrop (Le Point de non-retour, …) est superbe. J'exprime peut-être quelques réserves concernant le jeu de Julie Andrews … Sa romance avec James Garner n'est pas le point fort de The americanization of Emily.
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