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Voici les derniers messages de ce forum :

Qu'est devenue Annie Colé ?


De loulou79, le 6 janvier 2018 à 15:26

Effectivement, hormis les acteurs professionnels, les protagonistes de ce gentil film provenaient principalement du lycée en forêt de Montargis, que j'ai fréquenté de 1971 à 1973. Quant au prof de français ami de Pascal Thomas, il s'agit de Roland Duval, dit Tonton Dudu, qui avait grandement contribué à l'élaboration du scénario et des dialogues de ce film. Dans les années 70, Roland Duval était une incontestable gloire locale à Montargis.


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De choumi, le 12 mars 2006 à 00:13

Par Frederic Duru, j'ai su que tout les acteurs des deux premiers films de Pascal Thomas, Les zozos et Pleure pas la bouche pleine, sauf les acteurs confirmés étaient les élèves d'un lycée de Montargis qui avaient un professeur de Français ami de Pascal Thomas. C'était donc des amateurs qui pour la plupart ont choisi d'autres voies.

Annie Colé aurait été secrétaire à Melun ; serait mariée et mère de famille.


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Un tendre et frais bijou...


De Impétueux, le 18 avril 2010 à 10:27
Note du film : 6/6

Et voici la phrase complète : au grand agacement de sa femme Édith (Christiane Chamaret) et de sa fille Annie (Annie Colé), Louis (Jean Carmet) se soulage avec une certaine ostentation juste sur le seuil de sa maison :

Je pisse où je veux et quand je veux ; la nuit, c'est ici : la maison dans le dos, les étoiles sur la tête et la fraîcheur devant. Ça dure depuis que j'ai l'âge de trois ans. On m'fera pas changer d'habitude, nom de Dieu !

Comme il y a de perles dans les dialogues de Pascal Thomas et que de notations justes : "-Vous êtes étudiante en quoi ? "-Études générales !" ; "-Mathématiques, Français ?" "-Générales !"… Et le dialogue final, dans l'ombre douce où la fille dit a sa mère qu'elle n'est plus vierge est d'une sacrée justesse…


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De Gilou40, le 18 avril 2010 à 01:02
Note du film : 5/6

Je vais peut être vous faire sourire, mais ce film, pour moi, c'est avant tout une scène  : Jean carmet, après le repas du soir, pissant devant sa porte, sous les étoiles. Marquant son territoire d'un jet dru, il prononce une phrase (que j'oublie à l'instant) : Dans le genre "-Les étoiles dans l'nez, La maison dans l'dos !-" ou quelque chose comme ça !
Je trouve cette attitude très saine et je vais encore (pardon) évoquer mon père qui en faisait autant…

,En tous cas, vous avez formidablement résumé la chose….Quoi que vous n'évoquez pas la "Triumph Spitfire", mythique arme de drague, à l'époque, avec son immense antenne que l'on rabattait sur le devant. Tant qu'a : les médecins de famille qui se relevaient la nuit pour soigner une fièvre bénigne.. c'est vrai qu'aujourd'hui, ces "Messieurs" ne se relèvent plus que pour signer un acte de décès !


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