Accueil
Voici les derniers messages de ce forum :

Critique


De ahahah, le 31 mai 2006 à 13:32

il ne faudrait pas aller trop loin quand a critiquer ce film pourquoi ne pas trouver des bons points afin d'obtenir une critique objective… De nombreux jeunes ont apprécier ce film qui melange scènes de combat, jeux videos, humour a la jamel comme tu dit ( il ne faut pas dire sous-jamel mais plutot rôle inspirer de jamel car connaissant l'acteur je peux assurer qu'il a une personalité et un humour tout different de mr debbouze… ) Bref j'ai apprecier ce film et je ne suis pas le seul mais de s'attendre a voir un grand film, certenement pas je dois avouer que c'est plus un film de divertissement…


Répondre

De Christopher Brandon, le 17 février 2003 à 00:00

« Samouraïs, aïe aïe aïe ! » Autant le dire tout de suite, Samouraïs est en bonne position pour postuler au titre de meilleur nanar en DVD de 2003. Ce premier film du jeune réalisateur Giordano Gederlini est ultra inspiré : Les productions Besson (Taxi en tête) pour l'accent banlieue, l'humour potache qui tombe à plat et le rap agressif, à peu près tous les films de John Woo et de Tsui Hark, un soupçon de Matrix, une minuscule dose de Takeshi Kitano et une direction d'acteurs inspirée des meilleurs séries pour « djeuns » de M6. Rajoutons à cela quelques acteurs japonais (d'ailleurs les plus crédibles !) pour copier Crying Freeman, un sous-Jamel agité tendance Scritch de "Sauvés par le Gong" qui mérite une mandale à chaque fois qu'il ouvre la bouche, un sous-Paul Walker qui a le don de faire le vide autour de lui (faute de moyens pour s'offrir des figurants, le film parvient à vider un aéroport, une banlieue et tout un immeuble !!), et une belle guest, l'impressionnant Pascal Gentil, qui se prend pour le Karim Abdul Jabar du Jeu de la Mort, film testament de Bruce Lee. Scénario indigeste, incohérences à répétition – comme le sabre qui déchire un tee-shirt moulant mais ne touche pas la peau !-, scènes poussives, trucages foireux… Samouraïs s'avère un excellent catalogue de tout ce qu'il ne faut pas faire pour réussir un film de genre, quel qu'il soit. Le plus désolant sans doute tient à ce que certaines idées du scénario, mieux exploitées, auraient pu mériter le détour. Ce n'est pas encore aujourd'hui que les Français, en dehors de Christophe Gans, sauront réaliser des films d'action qui rendront hommage aux films de Hong Kong et à la personnalité propre du cinéma français, à moins qu'on limite celui-ci à Wasabi.


Répondre

Installez Firefox
Accueil - Version haut débit

Page générée en 0.0031 s. - 6 requêtes effectuées

Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter