On peut en retenir la violence qui soutend les rapports humains au sein de la sphère politique, et entre gouvernants-gouvernés. La population de Pharaon est montrée comme assujettie à des despotes, à un tel point qu'elle n'est guère productive. Aucune liberté de pensée, de création, d'action, et le collectif en pâtit. Une fourmilière soumise entièrement à des gourous mystiques qui gouvernent vie privée et vie publique, et qui décident de l'intérêt général en fonction de leurs intérêts particuliers. Une source d'inspiration possible pour Apocalypto de Mel Gibson ? Et peut-être une dénonciation du dogme communiste par Jerzy Kawalerowicz ?
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