Une opération porno voyeuriste habilement déguisée en film de répertoire par Nagisa Oshima. À l'époque, nos baby-boomers, avec leur crédulité habituelle, se font fait avoir ; moi non. Par contre son film suivant, si on passe outre son titre (et son affiche) qui est une attrape destinée à tabler sur le succès de scandale du précédent, L'Empire de la passion – adaptation au Japon du classique The Postman Always Ring Twice – est un très beau noir nippon.
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