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L'espérance de Satan...


De fretyl, le 12 octobre 2007 à 15:03
Note du film : 6/6

Tiens pour une fois je suis à 100 % d'accord avec impétueux .

J'ai regardé hier soir cette malédiction que j'attendais depuis longtemps et je doit dire que je n'ai pas été déçu. J'aime beaucoup cette vague de film d'épouvante lancé dans les années 70 avec notamment l'exorciste ou la grande menace. The omen cherche moins à utiliser les séquences d'horreur choc mais utilise une atmosphère ,une musique glaçante en cela il est exact que le film prend un coté poisseux qu'on retrouve chez Rosemary's baby où la même sensation de malaise de la part de Grégory Peck dans Le locataire du même Roman Polanski. William Holden qui devait tenir le rôle principal refusa le scénario, ne voulant pas jouer dans un film sur le diable mais après le succès acceptera de jouer dans le deuxième opus que j'ai hâte de voir .

Du boulot de pro efficace et passe-partout .


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De Impétueux, le 5 juillet 2006 à 16:17
Note du film : 6/6

Alors que Rosemary's baby présente une secte d'adorateurs du Malin presque débonnaire et tranquille, La malédiction ouvre la porte sur de vrais satanistes conscients, organisés, déterminés. On lit dans leurs yeux leur Foi sombre, leur absolue volonté de hâter, de permettre le règne de l'Antéchrist, et leur totale indifférence au sort des autres, et à leur propre sort ; d'où quelques personnages dont on se souvient durablement, comme Mrs. Baylock, la nurse hallucinante (Billie Whitelaw), mais aussi ces prêtres apostats, collaborateurs occasionnels du Démon, repentis et terrorisés, mais incapables d'en quitter l'emprise ; d'où ce climat de conspiration et d'inquiétude perpétuelles présent tout au long du film, dans le parc ravagé par la soudaine tempête, dans le cimetière italien assiégé par les molosses, dans les ruelles poisseuses de Terre Sainte, qui recèlent le secret de Damien Thorn (Harvey Stephens).

On aura beau dire que la structure narrative est des plus classiques – une mystérieuse et apparemment invraisemblable horreur, la difficulté d'y accéder, les révélations qui s'accumulent, la décision, finalement prise trop tard -, elle est drôlement efficace, s'appuie sur une excellente distribution (Gregory Peck, Lee Remick), et sur une musique très réussie.

Le deuxième volet de la trilogie, Damien est presque aussi réussi que le premier, grâce (si j'ose écrire !) notamment à l'excellente qualité du jeu de Jonathan Scott-Taylor, qui incarne Damien enfant, puis adolescent, sur le visage de qui passe toute la malfaisance du monde.

En revanche, le troisième volet, La malédiction finale, est une catastrophe complète.


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