Excellent film de sabre, porté par une mise en scène très élaborée, et des images de toute beauté. Réflexion aussi sur la société. Malgré ses qualités, Chang Cheh n’atteint pas en tant que cinéaste celles de Kenji Misumi, lequel semble repousser au cours des années soixante les limites du faisable ou du possible en matière de film de genre, sabre en mains.
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