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Cinéma
Plus de vacances pour le Bon Dieu
France

Sortie France : 12 avril 1950
Première mondiale : 1950
La fiche technique complète sur IMDb

26/07/200610/02/2008
Réalisateur et scénariste :
Robert Vernay

Scénaristes :
Paul Armont (pièce)
Paul Vandenberghe (pièce)
Lil Boel
Pierre Laroche (dialogues)
Solange Térac

Producteur :
Hubert d' Achon

Compositeur :
Louis Beydts

Directeur de la photographie :
Victor Armenise

Monteur :
Marthe Poncin

Sociétés de production :
Latino-Consortium-Cinéma
Jason Films

Acteurs :
Arlette Accart
René Alié (le chauffeur)
Sabine André (la mère de Pierrot)
Roland Armontel (Michel Angel)
Laurence Aubray (Mademoiselle Hélène, l'assistante sociale)
Jean-François Bailly
Antoine Balpêtré (l'inspecteur de police)
Paul Barge (le monsieur irascible)
Charles Bayard
Jean Berton (le père de Jules)
Léon Berton (l'avocat)
Jacqueline Carlier (une ménagère)
Marcel Charvey
Henri Coutet (l'oncle Alfred)
Robert Dartois
Serge Debel (un grand de la bande)
Eliane Degrange (une gamine de la bande)
Guy De Meulan (un grand de la bande)
Guy Denancy
Ginette d'Yd
Marcelle Féry
Jean Francel
Gangster (le chien)
Jacques Gencel (Urbain dit "Bout de Bibi")
Albert Gercourt
Lud Germain
Georges Gosset (le patron du bistrot)
Lucien Guervil
Jean Hébey
Daniel Ivernel (le docteur)
Pierre Larquey (le père Antoine)
Sophie Leclair (une grande de la bande)
Serge Lecointe (un poulbot de la bande)
Léonce
Yvette Lucas
Albert Malbert
Nicole Marée
Michel Marsay
Maximilienne (la tante Faguet)
Christiane Mayo
Marcel Méral
Jane Morlet (la mère Antoine)
Henri Mouche (Pivolo)
Maryse Paillet
Laure Paillette
Rognoni (le curé)
Catherine Romane
Marcel Rouzé
Georges Saillard
Sylvie Serliac
Made Siamé
Christian Simon (Pierrot)
Andrée Tainsy
Danielle Tardy (une gamine de la bande)
Yvonne Yma
Janine Zorelli

Résumé

Les enfants de Montmartre qui ne partent pas en vacances ont imaginé de dérober les chiens et de les rendre contre rançons. L'argent ainsi récupéré est employé à satisfaire les désirs les plus enfantins et parfois les plus précoces. L'idée du mal n'effleure pas les jeunes étourdis qui selon l'expression de leur chef suivent simplement l'exemple des héros américains du gangstérisme. Ils ont par contre l'idée du bien et, s'amusant du bonheur qu'ils procurent grâce à leur argent, ils n'emploient bientôt plus celui-ci qu'à secourir ceux qui en ont besoin. Sous le couvert de l'anonymat, ils adressent leurs dons comme venant du Bon Dieu. Se rendant compte soudain du caractère répréhensible de leur entreprise, ils décident de tout arrêter. L'un des leurs, étant grièvement blessé, ils l'aideront en payant les soins grâce à la dernière somme récupérée. © Les fiches du cinéma

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