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Sujet : Rambo


De Crego, le 5 avril 2003 à 14:26

J'aimerais bien serrer la paluche de celui qui va oser sortir dans la rue avec sa plaque "Rambo" autour du cou ! Ceci dit, soyons prudents… Imaginez, le fan explose dans un attentat et il serait identifié par la plaque. En gros, ça voudrait dire qu'un tas de fans seraient enterrés sous le nom de John J. Rambo ! ça donne à réfléchir.


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De HeaToN, le 7 juillet 2004 à 17:58


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De SLY2110, le 24 septembre 2005 à 00:46

Je découvre ton message un peu tard, mais qu'importe. Juste envie de te dire que je suis prêt à te serrer,la main quand tu veux. Je pense que dans le cinéma où d'autres domaines il est toujours beaucoup plus facile de critiquer que de reconnaitre que sois même on n'aurait pas fait mieux. Alors les fans, quel plaisir de leur tirer dessus également. Moi j'ai découvert Stallone en 1982 dans Rambo et il n'a plus jamais quitté mon univers. Sa plaque oui je l'ai porté à une époque, parce qu'à une époque où j'étais sans repère, John J RAMBO m'a ouvert les yeux et poussé à réagir. J'ai bien conscience qu'il ne s'agit que d'un personnage de fiction, mais audelà de ça, le message délivré, la force de héros, rejeté par les siens qui continue à se battre parce qu'il n'a pas d'autre alternative, "pour combattre la guerre, il faut devenir la Guerre" m'ont aidé à m'en sortir. Je me fous de ce que mange Stallone ou de ses choix politiques, j'aime ce qu'il fait, j'aime son esprit, j'aime ce qu'il a fait de sa vie à partir de ce que la nature lui avait donné. J'ai longtemps caché ma passion pour cet acteur, aujourd'hui j'ai 38 ans, je suis fan depuis 23 ans, et je n'ai plus hontre de porter ses tee-shirt, ses plaques où même les cicatrices de Rambo.

Je ne cherche pas à moraliser ou à faire aimer Stallone à tout le monde. J'aimerais simplement que lorsque quelqu'un n'aime pas un de ses films, qu'il se taise et aille en voir un autre; Stallone c'est tout un registre. Je déconseille fortement "l'embrouille est dans le sac" pour se faire une idée sur sa capacité à jouer la comédie mais essayez plutôt "Rhinestone" avec Dolly Parton, il y est irrésistible.

Voilà sans rancune et toujours d'accord pour te serrer la main.


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De vincentp, le 25 septembre 2005 à 19:44
Note du film : 5/6

Tu peux dormir l'âme en paix, Sly2110. 'Rambo' a sa place dans le panthéon des grands films américains. A sa sortie, il fut d'ailleurs l'objet d'excellentes critiques (dont l'Express, je crois).

Suite logique aux nombreux films américains réalisés sur la guerre du Viénam, il aborde de façon très réaliste et très convaincante le problème de la ré-intégration des soldats démobilisés. Superbe performance de Stallone -le rôle lui va comme un gant- (par ailleurs injustement caricaturé), admirable mise en scène qui prend le temps de nous montrer le personnage en difficulté dans la société et au contraire parfaitement adapté à la nature, au contraire de ses persécuteurs.

Il est simplement dommage que les 'Rambos' suivants ne soient qu'une déferlante de téstotérone, et qu'ils trahissent complètement l'esprit de ce présent film, jusqu'à faire du personnage un pantin au service de l'idéologie dominante (de l'époque), quand on cassait à l'écran du "rouge" comme du petit bois.


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De vincentp, le 25 septembre 2005 à 20:35
Note du film : 5/6

Nb : Je ne porte pas la plaque de Rambo comme toi, à priori possède de bons repères, ne supporte pas l'OM comme Impétueux, n'encourage pas le mariage entre B Willis et un obscur comédien comme PM Jarrig, mais me fais vertement disputer par mon entourage quand j'écris des chroniques sur ce site à deux heures du matin.

Internet est impitoyable ! C'est promis, plus de chronique après 22 heures.


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De Reznik, le 25 juin 2009 à 08:58
Note du film : 5/6

Ça se discute. Car en matière de divertissement guerrier bas du front on peut préférer largement le 3e épisode au 2nd qui est par trop gangréné par son fond politique impérialiste et contient des séquences surréalistes/kitschissimes traitées sans distance qui font aujourd'hui un peu peine à voir. Le 3e assume d'avantage son statut de sérial guerrier -les présences de S.Lettich au script et P.McDonald aux commandes ne sont d'ailleurs pas étrangère au coté B "vandammien" du film- avec un second degré salvateur et a surtout la très bonne idée de couper les ponts entre Rambo et l'Amérique, une caractéristique (avec celle du "mysticisme") qu'on a exclusivement attribué au 4e film alors qu'elle est déjà prégnante dans Rambo III. Enfin, plastiquement, le 3 opus demeure le plus beau et spectaculaire de tous (les séquences d'infiltration/évasion du dernier n'égalent à aucun moment celles d'Afghanistan). Sa mauvaise réputation est à mon sens totalement injuste.


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