"He's the One " Le musculeux Vin Diesel rêvait de produire la suite d'un de ses premiers films, plutôt bonne série B de SF appelée Pitch Black,
sortie il y a quatre ans. Si Pitch black
se distinguait par un budget serré et une mise en scène plutôt réussie, notamment par une utilisation éclairée des filtres couleur, les Chroniques de Riddick
alignent un budget avec plein de zéros très confortable. Autre différence avec le premier opus, le scénario : initialement, il jouait sur la vieille règle du "lequel va vraiment s'en sortir" dans un très honnête jeu de massacre où le personnage de Riddick tirait son épingle du jeu avec bravoure. Dans les Chroniques, Riddick est clairement le héros, sorte de marginal à la violence maîtrisée, recherché par tout ce qui se fait de sérieux en matière de mercenaires. Mais il est surtout l'arme absolue capable de défaire un grand vilain méchant qui, à la tête d'une armada de vaisseaux, a pour sport favori d'envahir des planètes, de les phagocyter et de les détruire dans la foulée. Un brave type en somme. Présenté comme ça, ça a l'air bateau. Et ça l'est un peu en fait. Mais il faut reconnaître que ces Chroniques de Riddick
ne sont pas aussi nanaresques qu'on aurait pu le craindre.
un film qui n'a absolument rien a voir avec le splendide premier volet des aventures de richard riddick pitch black. Mais cette suite n'en est pas pour autant decevante au contraire c'est un super film de science fiction.
on peut regretter une gigantesque bagarre qu'on esperait et qui n'arrivera jamais.Mais vin diesel assure l'essentiel il joue vraiment bien dans ce film.
les decors sont spectaculaires et les scenes de combats tournés de facons si originales que l'ont s'y croirait.La fin est un peu decevante mais laisses la porte ouverte pour un eventuel troisieme episode. riddick n'est pas encore finit.
Je proteste votre honneur ! Certes, la première demi-heure est assez incompréhensible, mais le devient rétroactivement une fois passé ce cap. Je prendrai le temps de décrire ses qualités artistiques, un jour ou j'aurai le temps. Mais pour le moment, je dois affronter une déferlante avec plus de 130 dvd sur mon étagère. Plus j'écope, plus la bicoque se replit. Donc cela risque d'attendre.
Ceci dit, on peut comprendre qu'il puisse ne pas plaire à tout le monde, obéissant d'une certaine façon à une logique marketing (c'est ça, le cinéma américain). Mais derrière cette logique, il y a bel et bien des qualités artistiques : l'intelligence du metteur en scène, narrative et visuelle, affleure à chaque instant, et est loin des niaiseries habituelles des super-héros…
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