MARIANO !!
Le film ? Un prétexte. Juste un prétexte. Pour entendre une voix unique. Comme tous, ou presque, les films de Mariano : Notre Bourvil
et une très jeune Tata Yoyo
qui n'avait encore donné dans le vulgaire, beaucoup de couleurs, une intrigue niaise à pleurer, des dialogues navrants, des "méchants" gentils comme tout et une happy-end à la fin d'une histoire bien rococo comme Francis Lopez aimait en pondre pour son ami. Bref : La fraicheur d'une époque peut-être révolue mais qui a été fraicheur. Mais peut importe le flacon…
Mariano !! ..
Oh là ! Pas la moindre réaction du médisant incriminé dans mon message ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Il neige à Paris ou quoi ? Un coup de blues ? Un cognac à mauvaise température ? C'est quand même pas la fin du monde…
C'est que je ne voulais pas engager une vive polémique sur un sujet aussi grave que les apports respectifs de Luis Mariano et de Charles Trénet
à la chanson française, surtout à quatre jours de la nuit de Noël.
Paix, concorde, sérénité, chaleur du foyer. Et toute cette sorte de choses….
Remarquez, un bon point à mettre au crédit de Mariano par rapport à Tino Rossi,
son complice et rival en douceurs melliflues : il n'a pas chanté Petit papa Noël.
Ou alors on a la pudeur de ne pas nous le passer dans les grands magasins.
Il n'a pas chanté "petit papa Noel"
Effectivement mais…vous l'avez échappé belle !
Alors que nous n'avons pas, hélas, échappé à ça :
Les fleuuuuuuurs sont des mots d'amouuuuuuuuur… "melliflues" qui dit !….
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