Je voulais m'abonner à un magazine québecquois et découvre des expressions surprenantes :
J'économise dans le cadre d'une surcharge pondérale ?
Allouons, allouette ?
On entend à la lecture de ces lignes, de l'autre côté de l'Atlantique, rouler l'accent chantant de l'allouette québecoise…
Les expressions québecoises ressemblent à celles des cajuns de Louisiane : ainsi la fameuse "laisse le bon temps rouler" que l'on entend par exemple dans mon film de chevet Southern comfort.
Et ce n'est encore rien ! Pour un prix modique, vous aurez bien plus de savoureuses et pittoresques expressions à vous mettre sous la dent quand paraîtra en septembre mon nouveau bouquin, où lesdites expressions vous sembleront d'autant plus saugrenues qu'elles sont saupoudrées parmi des textes "savants" (donc, eux, dans un français très soutenu), d'Aristophane à Jean-Pierre Faye en passant par tout l'éventail de l'antifascisme historique italien et j'y ai même plogué un principe transposé du Choulhan Aroukh, principe qui me permet de distinguer deux sortes de menteurs. D'après moi, comme bouquin, ça devrait être pas pire (évidemment, qu'est-ce que j'en dirais d'autre, ne serait-ce que pour des raisons promotionnelles). M'a t'y pogner entre les deux oreilles un maudit totalitariss d'écoeurant qui fait rien qu'à déconcrisser "l'humanité même de l'Homme", comme disait Levinas dans un texte de 1934 !
Le Canada (qui inclut le Québec) est une terre de créativité artistique.
Un très bon disque d'un groupe de Toronto pour notre ami Arca1943 (et les autres). Il fait partie des 10 disques du mois sélectionné par La Fnac.
Austra : take it break"quand paraîtra en septembre mon nouveau bouquin" (Arca1943).
Ou en êtes-vous cher ami ? S'agissait-il de septembre 2011 ou 2012 ?
Tenez, je vous adresse trois expressions étonnantes québécoise (à propos d'un produit électronique), pêchés sur le site de la revue qui "fait économiser gros", avec mes commentaires scientifiques entre parenthèses :
Enfin, le journaliste québecois y va d'une conclusion assez surprenante (humour québecois ?) : "je croyais que la Nouvelle-Zélande ne produisait que des moutons et de l'agneau pour la consommation, mais le fabricant P… nous prouve bien que la technologie est accessible partout sur la planète"
« Ou en êtes-vous cher ami ? S'agissait-il de septembre 2011 ou 2012 ? »
C'était septembre 2012, qui est devenu depuis mars 2012. Cette fois il ne s'agit pas de fiction, mais d'un essai-pamphlet de ma façon, où après dix-quinze ans de recherches dans les entrailles de la bête, je sors pour la première fois mes canons – l'antifascisme historique italien de tous bords – pour une première salve organisée contre… ah là, là… contre plusieurs cibles à la fois, mais d'abord et avant tout contre une idéologie en isme qui – tel le professeur Abronzius à la fin du Bal des vampires – répand en tout aveuglement le mal même qu'elle croit combattre.
C'est un livre qui a un côté érudit, qui s'attaque à une matière abstraite, "difficile", qui parle de choses vraiment effrayantes et mortifères – ainsi on y compare différents degrés de mal radical, ah comme c'est joyeux – mais réussit (selon moi, bien entendu) à le faire sur un ton et d'une manière accessible au public "non spécialisé".
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