Je me souviens particulièrement, comme le note Alholg, de son rôle dans L'étrangleur de Boston. Les dernières minutes du film, au cours desquelles il révèle sa schizophrénie, sont absolument magistrales et il y livre une composition réellement glaçante de réalisme.
Quel grand écart avec sa composition tout en charme et désinvolture du mythique Danny Wilde, acoquiné au non moins mythique Brett Sinclair !!