Cet Audiard-là est sûrement le fils de son père,
mais naturellement pas par la faconde et l'emphase délirante et géniale ; fils de son père par la douleur et le malaise, le malaise qui irrigue Garde à vue,
trouble jusqu'à l'écœurement, Mortelle randonnée,
halluciné et désespérant, ou On ne meurt que deux fois,
sarcastique, amer, dégueulasse ; la mort de François, fils de Michel et frère de Jacques a passé par là.
Rien n'est fortuit.
Je n'en ai pas gardé un bon souvenir, avec un aspect perçu comme grandiloquent. Très bon souvenir, en revanche, de De battre mon cœur s'est arrêté. La forme plus aboutie, fait que le résultat passe mieux. Mais j'ai vu les deux films avec 12 ans d'écart et peux difficilement les comparer.
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