L’inversion du concept du premier film laisse augurer quelque chose d’intéressant, et c’est un véritable plaisir de voir Zira et Cornélius totalement au centre du film cette fois-ci. Mais le scénario est une collection d’anomalies, soutenue par un filmage anodin et mou du genou… Bah je préfère largement le précédent épisode, malgré les quelques bonnes scènes de celui-ci et la musique chouette de Goldsmith (presque du Schifrin). Sympatoche mais sans plus, le final qui aurait pu être très émouvant est un gachis.