Forum - Mesrine : l'ennemi public n°1 - Avis
Accueil
Forum : Mesrine : l'ennemi public n°1

Sujet : Avis


De fretyl, le 18 novembre 2008 à 18:26
Note du film : 4/6

Connaissez Dominique Zardi ? Le petit chauve que l'on voit dans tous les films Français sans vraiment le connaitre. Le voyou de la Horse, le comparse de Fantomas, le flic de Que la bête meure.
Plus de 200 films au conteur, sans jamais être une vedette.

Aujourd'hui Dominique Zardi raconte sa rencontre avec Jacques Mesrine, dans les années 70.

Il nous parle des truands qu'il a connus, comme Mesrine, Bellaïche, Pierrot le fou et d'autres.

Et moi qui croyais que Andre pousse et Giovanni avaient été les seuls dans le cinéma Français à avoir eu des rapports avec le milieu !

http://www.dailymotion.com/video/k7iqJ8xMGUZyDiMrL6

http://www.dailymotion.com/video/kwGI0dZQz4luTSMsGM

http://www.dailymotion.com/video/k2G01jV19FVA8PMsS5


Répondre

De Freddie D., le 18 novembre 2008 à 20:59

Je veux bien que les auteurs de Mesrine n'aient pas voulu faire un héros de leur personnage principal, mais alors comment justifier l'affiche de la deuxième partie, montrant le profil barbu et sanglant d'un homme mort, dont la ressemblance avec le Christ en croix ne peut pas être due au hasard?

Je ne sais pas si ça a été relevé dans la presse, mais c'est très douteux.


Répondre

De Lagardère, le 18 novembre 2008 à 21:33

De la bouche même de vincent cassel : "- Cette affiche christique n'est pas due au hasard !-" Samedi 15 novembre, chez Laurent Ruquier…


Répondre

De PM Jarriq, le 19 novembre 2008 à 13:41
Note du film : 4/6

Ce qui pourrait être intéressant, maintenant qu'il est clairement établi ce qu'on avait déjà compris, c'est à dire que cette "ressemblance" n'est pas due au hasard, c'est de comprendre quel message ont essayé de faire passer les concepteurs de cette affiche.

A moins qu'il ne s'agisse que d'une bête provocation, histoire de faire parler le gogo. Que nous sommes, donc…


Répondre

De Lagardère, le 19 novembre 2008 à 16:15

Mais rien d'autre, PM JARRIQ, rien d'autre !! Aujourd'hui, tout marche , non pas par la "provocation", comme je le lis trop souvent, (franchement ! Depuis Hiroshima…) mais sur la bêtise humaine ! Et vous allez voir, avec le nouveau film de jean michel Ribes et sa collection de braquemards…


Répondre

De fretyl, le 19 novembre 2008 à 17:07
Note du film : 4/6

Je viens de voir à l'instant cette suite à Mesrine : l'Instinct de mort.

Ça commence très fort ! Des braquages en série, à l'évasion de Mesrine du tribunal, puis de la santé, ainsi que son braquage au casino de Deauville et la longue traque dans les bois ou vu la dangerosité du gangster, même l'armée a été sollicité.
Le film fonctionne très bien pendant une heure et demie, puis l'action s'essouffle peu à peu. L'histoire d'amour entre Mesrine et Sylvie Jeanjacquot demeure à la fois trop longue et trop bâclé, au moment ou le film pourrait s'intéresser à la dérive du truand dans une ultra gauche proche des brigades rouges.
Toute la deuxième partie du film se déroule quasiment à huis-clos entre Vincent Cassel et la jolie Ludivine Sagnier. La (petite) psychologie emboite le pas à l'action véritable et Cassel en fait un peu trop, pendant que Ludivine Sagnier joue un personnage cliché.
Mesrine : l'ennemi public n°1 se casse la gueule là ou Mesrine : l'Instinct de mort avait pris toute son intensité.
La première partie commençait doucement puis, petit à petit grimper de plus en plus haut dans les événements spectaculaires, ici c'est le contraire qui se produit.

Mais ça reste tout de même du bon cinéma et à l'avance un film populaire culte.
Pour l'affiche, le film termine ses dernières images sur un Mesrine ensanglanté dont les expressions ressemble effectivement à la crucifixion de Jésus.


Répondre

De Freddie D., le 19 novembre 2008 à 17:31

Pour l'affiche, le film termine ses dernières images sur un Mesrine ensanglanté dont les expressions ressemble effectivement à la crucifixion de Jésus.

Je n'en doute pas. Mais sans être un fervent catholique, ou même un croyant, on peut trouver l'analogie dérangeante. Quel rapport entre Mesrine et Jésus ? Même lointain…

Quand dans le dernier Superman, le justicier volant prend la position du Christ à la fin, on capte le message, tout en le trouvant naïf et agaçant, mais dans ce cas précis, c'est assez déplacé. A moins que le film ne parvienne à déifier le dénommé Messerine ou Mérine (c'est selon).


Répondre

De PM Jarriq, le 10 juillet 2009 à 16:12
Note du film : 4/6

On prend les mêmes et on continue. C'est toujours bien fichu, ça va vite, les fusillades sont bien réglées (même si les sons sont plus modestes que dans un équivalent U.S.), Cassel s'éclate en caïd mégalo, et Ludivine Sagnier est bien mignonne. Mais on a parfois l'impression de voir un film à sketches, une sorte de longue bande-annonce, ou de digest, qui survole la vie d'un homme, sans rien dire de réellement profond. Les séquences avec Gourmet sont excellentes, mais Gérard Lanvin est proprement hallucinant, avec son look de cro-magnon, son accent marseillais, et son air lugubre. Une vraie faute de goût…

Le film tient malgré tout sur l'énergie interne et la vivacité du montage. Il faudrait probablement revoir les deux parties d'affilée, pour se faire une idée plus juste de ce Mesrine dont la longueur ne paraît pas totalement justifiée.


Répondre

Installez Firefox
Accueil - Version bas débit

Page générée en 0.0032 s. - 5 requêtes effectuées

Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter