Etonnant que ce bijou emblématique des seventies et du mouvement de la femme, ne soit jamais sorti en DVD. C'est une comédie douce-amère exeptionnellement bien écrite, portée par Jill Clayburgh dans le rôle de sa vie et Alan Bates, en amant trop idéal pour être vrai. Il y a des séquences inoubliables (l'héroïne vomissant en pleine rue, quand son mari lui apprend qu'il la quitte), un message réaliste mais optimiste et une vision de la femme moderne sans le moindre cliché. C'est avec "Ennemies, une histoire d'amour", le meilleur film de Mazursky. Alors, quand le revoit-on ?

Il vient de sortir en zone 1, et n'a pas pris une ride. C'est un des films qui capte le mieux l'ambiance des seventies, sans le caricaturer, et qui dresse un portrait de femme d'une acuité totale. Jill Clayburgh est magique, Michael Murphy qui joue le mari lâche et lamentable est extraordinaire, car jamais haïssable. Seul Alan Bates semble mal distribué en artiste "viril", un rôle qui aurait mieux convenu à Sean Connery par exemple. A part les séances de psy, probablement tournée en impro, et beaucoup trop longues, La femme libre est un vrai bijou de cinéma psychologique, passant du rire aux larmes avec maestria. C'est drôle comme Mazursky est un cinéaste aujourd'hui oublié, malgré quelques films magistraux comme "Next stop Greenwich Village" ou Enemies: a love story…

Le film n'a pas vieilli, c'est vrai, et ferait même un excellent double programme avec un autre film de Jill Clayburgh : "Merci d'avoir été ma femme" (le film vaut mieux que son titre français !) de l'éclectique Alan J. Pakula. Il traite à nouveau de divorce, mais du point de vue masculin, cette fois et, s'il n'est pas exempt de défauts (le personnage de l'ex, joué par Candice Bergen, est inutilement ridiculisé), offre à Burt Reynolds un de ses meilleurs rôles. Clayburgh elle, joue un personnage réaliste, concret, émouvant. Malgré une photo tristounette de Sven Nykvist, "Starting over" (en v.o., c'est tout de suite mieux) est un très joli film, récemment ressorti en zone 2, et qui vaut d'être redécouvert. Au fait, puisqu'on parle de Clayburgh, que devient La luna, de Bertolucci ?

Je sui Veronike,je sui española,j'ai de probleme pour ecrire en frances."traduce esta pagina".En españa se le dio el nombre "LA MUJER DESCASADA".Pude ver la pelicula cuando la estrenaron y aun hoy me parece el retrato mas dramatico de la historia de un desamor,del engaño y de como superarlo en un momento de tu vida en el que crees que fu compañero de camino es para toda la vida,Qizas un poco sobreactuactuada pero magnifca. axiste en dvd.Tambien en video me interesa.

esty totalmente de acuerdo ,es una vision tan de ahora que parece imposible o increible que no se pueda ver y disfrutar en dvd.

Je ne pourrai rien ajouter à ce que disaient de ce film Freddy D et PM Jarriq à propos de ce film et de son interprête principale Jill Clayburg, excellente actrice que l'on oublie beaucoup…

C'est, là encore une fois, notre conversation avec Jipi qui m'a ramené en mémoire ces actrices comme Jill Clayburg et Jane Fonda qui étaient très engagées à la fois dans leurs rôles et dans leurs vies au quotidien.

je viens de le revoir : on plonge effectivement dans une ambiance très caractéristique de l'époque du film et de la société américaine – j'aime beaucoup quand elle se ballade avec l'immense toile ! pour ceux qui ne connaissent pas à découvrir !

comment se procurer le dvd j'ai tellement aimé ce film!!