Un peu plus gore que le premier opus mais sans jamais trop se perdre dans le grand-guignolesque, plus sur les traces de L'Exorciste avec une histoire de possession comme le sous-titre l'indique, Amityville II reste un film plutôt efficace dans l'ensemble même si l'on connaît toutes les ficelles du genre. Cela nous prouve qu'encore à cette époque, on savait créer de l'angoisse avec peu d'effets et sans l'aide de l'informatique.
Excellent. Un des meilleurs film de possession et des années 80 ! "Scary as hell" !
J'avoue que je serais curieux de voir comment Damiano Damiani a su se débrouiller sur ce sujet de commande. Dans les années 60-70 – on me souffle que ça se gâte par la suite – monsieur Damiani avait une "drive" incontestable, un style vigoureux et direct, notamment dans une série de thrillers antimafia dont on trouvera, je crois, la plus belle et efficace illustration dans Un Juge en danger. Enfin, je dis : on trouvera… le jour où le DVD sortira, s'entend ! Vu que la plupart des ses films sont indisponibles, je crains fort que plusieurs ne le connaissent que pour ses westerns, au demeurant plutôt bons comme El Chuncho, ou l'introuvable Un Génie, deux associés, une cloche. Certes, voir le sequel d'Amityville n'est pas exactement ma priorité, cela dit pour diriger un film de peur, je pense que Damiani est un bon choix.
Je viens de voir ce film et la critique négative que j'avais lue dans le nouvel observateur se confirme.
Amityville II le possédé est un véritable navet.
Une bouze commerciale des années 80 avec une photographie de téléfilm, un scénario ultra simple et la maison dans de nombreuses scènes censées faire monter l'angoisse chez le spectateur est filmé de façon très lente dans l'obscurité de la nuit, si vous regardez ce film faites une avance rapide sur votre magnétoscope pour ces scènes là.
En prime des scènes d'exorcisme pas terrifiante du tout et les maquillages pour le gamin qui est possédé sont vraiment très très très très très très laid.
0/6 !
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