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Forum : Ce cher Victor

Sujet : Voyez les !!


De sepia., le 6 avril 2007 à 16:15
Note du film : 6/6

Je viens de revisionner ce film et il en vaut la peine ! Une mise en scene quasi-inexistante d'un bout à l'autre, frisant le dépouillement jusqu'a se demander ou était Robin Davis pendant le tournage. Et pourtant…Quelle belle histoire de couple! Dufilho, Blier absolument magistraux dans cette histoire ou le glauque et la haine sourde se disputent la vedette.

Qu'en est il exactement ? Victor (Jacques Dufilho), veuf, vient vivre par pur souci d'économie chez son ami Anselme (Bernard Blier). Le temps pourrait s'écouler tranquille et reposant pour nos deux retraités si Victor ne possédait pas un caractère immonde et un goût du mépris pour tout ce qui n'est pas lui. Jusqu'au jour ou Anselme, mouton paisible, se fait loup féroce et ourdit une vengeance dans une sordide jouissance….

Jacques Dufilho n'avait pas encore monté Milady et Bernard Blier s'apprêtait a s'en remettre à son fils Bertrand pour Calmos l'année suivante.

Une histoire de haine qui finit (?) en histoire d'amour tardivement reconnue par le survivant de cette prenante promenade dans le refus de la tyrannie. Film lourd, pesant, par l'intensité du jeu des acteurs qui s'activent, Alida Valli en tête, dans un dernier baroud d'honneur avant l'ultime échéance d'une vie ratée. Une Fin du jour à la Robin Davis… Toutes et grandes, très grandes proportions gardées… Pas vraiment un film. Mais un numéro de prodige par des acteurs prestigieux. Un film pourtant, et brillamment salué à sa sortie . Puis, étrangement , il est retombé dans l'ombre et l'oubli, comme ses deux personnages oubliés de la vie et qui ne la retrouverent que dans la haine…

A VOIR..


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De sepia., le 6 avril 2007 à 17:36
Note du film : 6/6

10 Minutes de transes infernales pour savoir si je devais écrire magistralS ou magistraux… HONTE A MOI !! J'ai horreur de ça ! Je veux le nom du Mâle qui a corrigé, que je le conchie à jamais…


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De Impétueux, le 6 avril 2007 à 17:52
Note du film : 4/6

Je n'ai pas de peine à me dénoncer ; je suis un maniaque de l'orthographe, de la typographie (pas d'espace AVANT la virgule, mais un espace après ; un espace AVANT et APRES le point-virgule, etc.) et toute cette sorte de choses…

Mais vous savez, je ne corrige que ceux (et celle, donc) pour qui j'ai de l'estime… Lorsque je prie Frétyl de corriger ses messages, c'est dans un tout autre esprit.

Ah ! De quoi je me mêle ? De ce que je regarde….

Deuxième Ah ! : je suppose que lorsque vous avez écrit que je le conchisse à jamais, vous vouliez employer le verbe conchier ; j'ai donc rétabli la bonne syntaxe ; mais si c'est le verbe connaître (ou un autre), merci de me le préciser ; je rectifierai


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De s é p i a, le 20 octobre 2007 à 01:41
Note du film : 4/6

j'apprends que ce délicieux film vient de sortir en DVD ! Je remets donc à l'honneur cette œuvre que je pense majeure, dont nous avons déjà parlé, mais qui n'a pas été, semble-t-il, très regardé.

Voyez le cet Immense numéro d'acteurs que sont Jacques Dufilho et Bernard Blier! Je suis prête à faire circuler la cassette, rare apparemment, si nécessaire. Une énième vision récente me redonne à penser que ce film est très injustement passé à côté d'un succès amplement mérité…

"- J'aime les acteurs ! C'est chouette un acteur ! C'est bath un acteur !-" ( Jean Gabin )


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De fretyl, le 6 juin 2010 à 13:15
Note du film : Chef-d'Oeuvre

Voila un film qui plairait à notre ami Arca. J'ai eu l'impression, un peu comme avec Tandem d'assister à une comédie Italienne.
Ce cher Victor n'est pas gai, son humour y est parfois ravageur, toujours cruel. Dufilho incarne un espèce de fou, un aigri cruel. Blier à contre-emploi, est une brebis, tout en amabilité, en serviabilité.
Un peu comme avec Tatie Danielle il est impossible de ne pas trouver les réflexions de la peste qu'est Victor (Dufilho) envers le brave Bernard Blier à la fois extrêmement terribles et extrêmement drôles, tant cette méchanceté n'est pas méritée et reste profondément injuste, contre celui qui les reçoit.
L'ambiance ressemble un peu à celle du Chat ; triste, monotone… Dans Ce cher Victor ce ne sont pas des Français moyens hauts en couleur qui sont filmés, mais des retraités en fin de vie, dont le quotidien réaliste se résume à une partie de carte au bistrot, à un repas du troisième âge, au marché du dimanche matin.

Il y a dans cette farce noire, durant tout le long des moments de pure angoisse qui tranchent complétement avec la comédie.
Bernard Blier qui après s'être fait arracher son rajout capillaire par Dufilho en public, devant des spectateurs dans la gène, se réfugie, après ce que l'on croit être un gag, dans le coin d'une rue et se met à pleurer, face à cette humiliation. Dufilho qui s'en prend méchamment à une personne âgée et sourde.

La comédie ne tient que sur très peu de choses : sur un espèce d'humour noir grinçant, ricanant, qui a y regarder de près, n'est en fait pas vraiment drôle.

Les dernières minutes du film finiront par basculer intégralement, dans le drame le plus tragique.


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De Frydman Charles, le 26 octobre 2012 à 04:05
Note du film : 5/6

Mais quel est donc ce corbeau qui signe S ,se demande ce cher Victor ? Après avoir soupçonné un premier temps son compagnon, son compagnon sera le dernier auquel il pensera…L'étude psychologique du film semble bien vue, un Bernard Blier hypocrite à souhait , apparemment plein d'attentions pour son "cher Victor".


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De Frydman Charles, le 22 août 2016 à 05:47
Note du film : 5/6

J'ai du mal à situer l'appartement où vivent Anselme et Victor. Les scènes d'intérieurs ont probablement été tournées en studio, mais il semble que lorsque ont voit Anselme où Victor quitter l'appartement , les lieux de tournages donnent lieu à des incohérences et que les plans aient été pris à des endroits très éloignés.

Ainsi au début du film Victor et Anselme font leur marché au marché Alligre dans le 12 ème arrdt, ils ont pu y aller par les transports en commun, soit.

Mais à 28 mn Anselme regarde par la fenêtre Victor s'éloigner . Il se trouve dans une rue large ,un boulevard ? avec beaucoup de circulation, un feu rouge et des piétons qui traversent.


Anselme le suit, sort de l'immeuble par un chemin très différent ,des rues étroites, alors qu'il semble que l'on ait pas le choix pour rejoindre la station de bus ! voit Victor qui s'apprête à prendre le bus commençant par 6…Et le devance en prenant un taxi pour aller au cimetière de Boulogne.



Vers 48 mn , Anselme sort de l'appartement, Victor le suit à pied en se cachant , et voit Anselme se rendre à l'église Saint-Germain de Charonne dans le 20 ème arrondissement !


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De fretyl, le 31 octobre 2019 à 23:53
Note du film : Chef-d'Oeuvre

Ce cher Victor démontre avec une habiletée extrême et grâce à deux grands comédiens que les mauvaises farces… qu'elles soient faites dans les cours de récréation ou dans les bals du troisième âge… restent des mauvaises farces…

Quoi donc retenir si ce n'est tout le film. D'un pessimisme absolu. D'une ou deux trois blagues que se font les cheveux blancs (ou les rajouts capillaires) et qui sont bien plus graves que les mesquineries de leurs neveux ou petits enfants.

L'ennui, le dégoût de soi même, la fainéantise mêlée à la retraite. Le bilan. La camaraderie qui vire au couple à la détestation de ce que l'on a été. Les instances de divorces, pour finir, la psychiatrie… la maison de retraite… la dernière solitude probable… Le cimetière ! Ou Blier règle ses comptes avec des courriers vaseux pour filer la pétoche à un pote bien plus entamé que lui par l'âge et … surprendre ses dernières sensations.

Toujours l'ennui répétitif, en attendant, on ne sait quoi. L'instinct de vvengeance. Instinct que l'on utilise non en syndicat contre les salauds qui ont fait du mal mais sur ses proches.

L'illumination devant une blanquette de veau, où se déroule un instant de paix.

Les émissions années 70 Questions pour un champion où il est question de geriâtrie… La tentation du suicide…

Grand Moment ou Blier craque seul dans la rue.

Étonnant film, faussement drôle. Message court pour un Tandem extrêmement surprenant…

Cela pour nous montrer quoi ? …. Là petite misère française, timide et intimidée que l'on croise tous les jours et qui ne parle pas depuis des décennies. Que l'âge ne nous arrangera pas.

Navrant !


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De Impétueux, le 1er novembre 2019 à 17:51
Note du film : 4/6

J'avais oublié les messages positifs sur ce film que je n'ai toujours pas vu. Que Sépia la disparue et vous, Frétyl le défendiez avec tant de verve et de sentiment me rappelle qu'il faut que je regarde…


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De Impétueux, le 18 novembre 2019 à 21:23
Note du film : 4/6

De fait Ce cher Victor est un film très bizarre, très singulier, très intéressant. Un film qui, de mon souvenir, de ma connaissance, n'a pas beaucoup d'équivalent dans le cinéma français. Ce n'est pas pour autant une copie plus ou moins bien maîtrisée de la comédie à l'italienne où la plupart du temps l'art du réalisateur consiste à rouler le spectateur en l'entraînant avec habileté, sans qu'il s'en rende compte, dans la découverte de la réalité des êtres, qui sont rarement ce qu'ils paraissent être d'emblée.

Rien de cela dans le film de Robin Davis : irruption immédiate dans l'existence parcimonieuse, grise, acariâtre de deux vieillards, attachés l'un à l'autre, dans une cohabitation exaspérée. On ne saura pas clairement pourquoi ils ont décidé de vivre ensemble leurs solitudes, huit ans auparavant, lorsque Louise, la femme de Victor Lasalle (Jacques Dufilho) est morte. Victor est venu s'installer chez son ami, témoin à son mariage, Amédée (Bernard Blier) ; tiens, au fait, Amédée n'a pas de nom de famille : rien de plus significatif. Mais donc les deux hommes, rassis, sans grands moyens, dont la vie sociale est confinée au club du 3ème âge de leur quartier et dont les loisirs sont ceux de mélomanes amateurs (ce qui n'est ni ridicule, ni dégradant, bien sûr) vivotent sans chaleur et sans espérance.

Victor est un tyran insupportable, bourrelé de suffisance et d'orgueil. Mais de douleur, aussi, parce que la mort de Louise, sa femme, est une blessure qu'il n'a jamais pu refermer et qui le brûle continuellement. Et qui le rend injuste, méchant, mégalomane, paranoïaque, agressif. Qui lui fait insulter, vilipender, mépriser, humilier Amédée… Au tout début du film, on se demande même quelle est la nature des relations entre les deux hommes. Après tout, les petits drames de l'homosexualité, de la soumission d'un pauvre homme à l'impérium d'un autre ont assez souvent montré ces dérives lamentables et ces mesquineries terrifiantes. Mais en fait, il n'y a rien de cela : simplement une bonne pâte d'homme qui ne demanderait qu'à passer sagement, calmement, le reste de son âge dans de bonnes charentaises en sirotant un bon cognac en compagnie d'un vieux copain et une sorte de pauvre veuf malheureux qui est passé à côté de la vie d'artiste qu'il rêvait.

Pourquoi, à un moment donné d'une vie y a-t-il exaspération, incapacité de supporter ce qu'on avait subi pendant des années ? À quel moment particulier et pourquoi précisément la bouteille déborde-t-elle ? Qu'est est le processus chimique qui aboutit à cette cristallisation de la haine et qui pousse Amédée, plutôt bon loustic, à vouloir se venger des années de géhenne où son compagnon l'a persécuté (mais avec son accord tacite ! c'est là l'intérêt). Et dès lors c'est moins l'artillerie lourde que les vicelardes petites magouilles destinées à déstabiliser et surtout à abattre le coq de combat qui avait jusqu'alors triomphé du poulailler. C'est sans doute là qu'il manque à Ce cher Victor cet éclair de génie qui fait les grands films ; on conçoit bien qu'il y ait à un moment donné une sorte de révolution qui bouleverse l'ordre des choses, mais encore faut-il qu'il y ait un détail, une bribe, un brimborion qui déclenche la transformation. Voilà ce qui manque au film.

N'empêche que cette histoire malsaine et crasseuse ne manque pas de subtilité. La vengeance intériorisée d'un pauvre type coincé, humilié, écrasé par son meilleur ami qui va vomir toute une haine accumulée pendant des décennies (depuis l'école peut-être, si ça se trouve) n'est pas mal fichue du tout. Il lui manque seulement un peu de rythme.


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De fretyl, le 20 novembre 2019 à 15:07
Note du film : Chef-d'Oeuvre

un peu de rythme vous avez dit qu'il manquait à ce film ?

Qu'attendre de rythmique de personnes âgés qui vivent dans le froid et la tiédeur ?

Aucun rythme enthousiaste possible. Sinon il aurait fallu confier la direction d'acteur à Zidi, le thème sonore à Cosma… Et le rythme aurait été là.


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De Frydman Charles, le 30 octobre 2020 à 20:57
Note du film : 5/6

Je viens d’avoir des précisions sur les lieux de tournage vers 28 mn. Anselme sort sur un passage devant une porte avec un 6 peint en blanc

un passage étroit qui devrait déboucher sur la rue d'ormesson à gauche. C'etait peut être vrai en 1975 ? Anselme tourne à gauche en sortant de la rue d’Ormesson, longe la rue Sévigné jusqu'à la librairie Charlemagne 2 rue Sévigné
. Ci-après une vue par la fenêtre du domicile, probablement à l’angle de la rue Saint Blaise et de la rue de Bagnolet :
Anselme sort visiblement d’un autre immeuble pour se diriger rue d’Ormesson que celui du domicile donnant sur la place Saint Blaise.Vers 48 mn scène analogue à celle à 28 mn , Anselme sort de domicile , passe devant la porte avec un 6 blanc , mais ne va pas rue d'Ormesson, Il suit Victor qui va à l’église place Saint Blaise.Vers 40 mn Anselme rentre au domicile qu’il partage avec Victor, l’entrée de l’immeuble n’est probablement pas du côté de la place Saint Blaise, ni même de la rue d’Ormesson, alors que l’intérieur de l’appartement donne sans doute sur la place Saint Blaise !
Le fameux n°6 semble se trouver dans un passage à ciel ouvert , un peu comme le passage des petites écuries 61 bis rue des petites écuries , mais beaucoup plus étroit, ou au passage du désir (très different, mais on y voyait également des affichettes collées sur les parois laterales) dans cette même rue.. L’entrée de l’immeuble du domicile commun est en face de ce 6 , on y accède par une porte grillagée. Vers 11 mn 30 Anselme sort avec Victor du passage tourne à droite et va dans un café en face. A son retour vers 13 mn 30 il revient seul, passe devant des maisons en voie de démolition, vers 15 mn s’arrêté devant l’entrée du passage et pleure en pensant aux humiliations qu’il a subies de la part de Victor. Je n’ai pas trouvé d’informations lisibles permettant de situer la rue du café.Depuis le café on voit une quincaillerie , une porte de garage basculante…
En sortant de l’immeuble dans la passage vers la droite , devant le 6, on accède à la rue du café à 11 mn et 40 mn. En sortant vers la gauche à 27 mn ou 48 mn on ne sait pas exactement où débouche le passage.

Beaucoup de faux-semblants, images en trompe l’oeil dans le film. Notamment vers 41 mn , tout laisse croire que Victor entre au domicile commun. Il emprunte un passage analogue a celui qui mène au domicile commun, entre dans une vieille cour qui rappelle la cour de son immeuble mais qui conduit à un établissement de bains douches derrière de la verdure où Victor entre pour emprunter un escalier à droite. Plan suivant il monte l’escalier pour retrouver un ancien voisin qu’il soupçonne d’avoir été l’amant de sa femme , mais le voisin a déménagé, puis rentre au domicile commun !


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De Frydman Charles, le 10 novembre 2020 à 09:42
Note du film : 5/6

La rue d’Ormesson à l’angle de la rue Sévigné sur Paris musée

On reconnaît l’image correspondante dans le film probablement à la même époque.

…………. Une scène du film prête particulièrement à confusion vers 41 mn. Anselme rentre au domicile commun et croise Victor qui en sort

. Anselme met un canari qu’il a tue dans une boîte métallique et écrit une lettre anonyme. Victor semble revenir au domicile commun, accède à une une entrée de vieilles pierres
comme celle du passage à ciel ouvert devant le domicile, mais donnant directement sur une cour d’immeuble différente
mais rappelant celle du domicile et qui mène à un bains douches derrière de la verdure.
Un chat blanc avec des tâches noires est allongé devant l’entrée. Victor entre dans l'établissement, monte un escalier à droite
,s’arrêté à un palier. Un chat blanc avec des tâches noires peut être un peu différentes de celles du chat devant l’entrée est sur les marchés de l’escalier
. Victor passe devant la porte de son ancien domicile et sonne au domicile de son ancien voisin qu’il soupçonne d’avoir été l’ancien amant de sa femme. Un nouveau voisin précise que l’ancien est mort. Le chat s'approche et le nouveau voisin le chasse d’un coup de pied. Est ce le même chat que celui d’en bas, qui aurait devancé Victor dans l’escalier ?


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De Frydman Charles, le 2 décembre 2020 à 04:44
Note du film : 5/6

Le film est trompeur, vérification faite le 6 peint en blanc sur une porte en face de la grille du domicile commun au 5, se trouve 6 passage Saint-Paul ! Ci après sur street view :

Le passage est en fait une impasse : Passage Saint Paul débouchant en impasse sur l’église Saint Paul.
Alors que dans le film on pense se trouver rue d'Ormesson, puisque le plan en continuité se trouve dans cette rue. Puis rue sévigné qui débouche sur l’entrée principale de l’église Saint Paul !!! Décidément tous les chemins menent à l’église Saint-Paul ! Dans les années 1973 à 1975 on voyait quelquefois un sticker collé sur la lunette arrière des voitures représentant un corbeau qui signe S.
.
ou à l'avant d'un scooter comme ici avenue Jean médecin à Nice en juillet 1975, ce cher Victor est sorti le 21 mai 1975 (le canard jaune peut faire penser au pauvre canari jaune que tue Anselme avant de le déposer comme un mauvais présage sukr le rebord de la fenêtre. Sur le trottoir en face, le cinema Cinétoile diffusait le film erotique S…comme Sally ) .
S.. comme la "signature" des lettres anonymes d'Anselme
ou du message sur la tombe de Louise ! (on ne voit que le premier point de suspension, la suite étant caché, comme censuré, à moins qu'il n'y ai pas de suite que S. soit la première lettre d'un nom ? Sur le message "…à ce soir minuit" il semble n’y avoir qu’un point, mais le t de est est couvert de noir et le e en partie caché , reste S et une tâche noire)
Anselme , le corbeau si proche de Victor , que Victor soupçonnait au début et fini par abandonner cette idée. Anselme c'est lui qui habite le 5 et qui héberge ce cher Victor. 5 comme un S !!! De quoi plonger ce cher Victor dans une profonde dépression !


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