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Sujet : Décès de Deborah Kerr....


De verdun, le 18 octobre 2007 à 19:02

… ce mardi à l'âge de 86 ans des suites d'une longue maladie.

Une grande actrice vient de nous quitter. La star de "Tant qu'il y aura des hommes", "Dieu seul le sait", "Les innocents" ou encore Le Narcisse noir était l'une de mes actrices préférées (étrangement c'était aussi une idole pour le sardonique Maurice Pialat.

Quelle dommage qu'elle se soit retirée aussi tôt du grand écran, à même pas 50 ans, après L'arrangement de Kazan !!


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De urspoller, le 18 octobre 2007 à 19:21

Personnellement, je la revois encore dans les bras de Cary Grant dans Elle et luiMcCarey décrira superbement l'influence prééminente des sentiments sur le destin des êtres. Un autre souvenir agréable, c'est sa performance dans Tant qu'il y aura des hommes dans la peau d'une femme délaissée et blessée à jamais par un événement tragique.

Un ange passe…


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De Arca1943, le 18 octobre 2007 à 19:35

Inoubliable dans Night of the Iguana. Quelle triste nouvelle.


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De urspoller, le 18 octobre 2007 à 19:38

Même en religieuse, elle était belle à damner un sain dans Dieu seul le sait, à l'instar d'Ingrid Bergman dans Les Cloches de Sainte Marie.

Bonjour tristesse !


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De PM Jarriq, le 18 octobre 2007 à 20:33

Chapeau bas, Urspoller : arriver à citer Ingrid Bergman, dans un hommage à Deborah Kerr… Si c'est pas de la passion, ça !


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De urspoller, le 18 octobre 2007 à 20:39

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De droudrou, le 18 octobre 2007 à 21:54
Note du film : 4/6

Et cetera, et cetera, et cetera !…

  • On les appelait des "bouffeurs de maquereau"…
  • Vous disiez, monsieur Allison ?
  • Euh ! Rien, ma soeur !

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De DelaNuit, le 19 octobre 2007 à 00:46

Ah, Deborah Kerr, aussi à l'aise dans le cinéma épique – rappelons-nous la flamboyante esclave lygienne à la chevelure de flamme sur fond d'incendie de Rome dans Quo Vadis ? – que dans le cinéma intimiste : la vieille fille philosophe donnant la réplique à la divine Ava Gardner dans La nuit de l'iguane… L'une peut accueillir l'autre sur l'Olympe désormais !

Et bien sûr la trop libre et scandaleuse femme du capitaine dans Tant qu'il y aura des hommes, à la fameuse étreinte avec Burt Lancaster au milieu des vagues : l'une des scènes les plus fameuses du cinéma…


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De vincentp, le 4 avril à 12:29
Note du film : 4/6

4,5. Comme pour d'autres films réalisés par Walter Lang, on a affaire à une oeuvre qui flirte avec un académisme pesant, mais s'en échappe habilement grâce un humour gentiment caustique, un ton grinçant mais juste ce qui faut. Cette caractéristique rend plaisant et accessible encore aujourd'hui Le roi et moi à un grand-public et à des cinéphiles. Les états-d'âme du souverain sont parfaitement interprétés par Yul Brynner dont on se rend compte à quel point il fut un acteur hors-norme. Réflexion sous-jacente sur le pouvoir, les relations homme-femme et parents-enfants. Le scénario vise large, avec un traitement à la fois élaboré et naturel (aucune grandiloquence). Des qualités esthétiques également (décors, lumière, costumes). Plus de 2 heures de spectacle qui passent vite…


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